Présentation atelier Interface Recherche et Développement 2020 : Les méthodes culturales comme moyen de contrôle de Spodoptera frugiperda (lepidoptera : noctuidae)

 PUBLICATION | | 3 vue(s) |     

Spodoptera frugiperda (J.E. Smith, 1797) ou Chenille Légionnaire d’Automne(CLA) est un problème majeur de la culture du maïs en Afrique, ce ravageur pouvant causer parfois la perte totale des récoltes. La FAO préconise l’application de méthodes de lutte durable contre ce ravageur. C’est ainsi qu’en Afrique, le technique push pull utilisant des plantes répulsives comme Desmodium intortum (Mill) Urb et attractives telles que Brachiaria sp et Pennisetum sp a permis de diminuer l’impact du ravageur. A Madagascar, cette méthode est actuellement testée. Mais dans cette étude, les méthodes culturales seront exploitées. Il s’agit de i) varier la densité et la date du semis du maïs et ii) tester différents systèmes de culture : maïs en culture pure ou en association avec des légumineuses ou autres cultures iii) en saison culturale du maïs et en contre saison. Les expérimentations ont été réalisées dans des dispositifs de recherche et en parcelles paysannes à Ivory au Moyen Ouest du Vakinankaratra et à Alaotra Mangoro. Le taux d’infestation du maïs a été évalué selon la méthode “W” de (Chinwada ,2014).Il consiste à sélectionner au hasard cinq points d’échantillonnage (A, B, C, D et E) pour couvrir le plus de champ possible pour chaque système. Les insectes associés au maïs ont été capturés au filet. Des larves saines et infectées de CLA ont été collectées et incubées au laboratoire en vue d’obtenir des souches de parasitoïdes ou des pathogènes. Les résultats attendus sont une diminution du taux d’infestation de la CLA ainsi que la présence des ennemis naturels qui contribueraient au contrôle du ravageur. Il a été constaté que le maïs semé tardivement (Février) est plus infesté (49,5%) que les cultures en semis normal (Décembre) (28,25%). Le taux d’infestation est moins élevé (18,25%) pour un écartement de 1m x 0,7m entre les pieds de maïs que pour 0,8m x 0,5m (32,5 %). A Ivory, les associations avec les légumineuses diminuent l’attaque de la CLA : 20% pour le système Maïs+soja, 20,12% pour Maïs+crotalaria, 20,50% pour Maïs+mucuna et 91,30% pour le maïs en culture pure. A Alaotra, le système Mais+niébé est le moins attaqué (26,25%) par rapport au système Maïs + Mucuna (35,50%) et maïs en culture pure (95%). En contre saison, le système Maïs+chou (20%) est le moins attaqué par rapport aux autres systèmes Maïs+concombre (45%), Maïs+poivron (70%) et Maïs+ Haricot (85%). Les cultures associées attirent et constituent des sites de refuge pour les insectes auxiliaires tels que les prédateurs (Forficula auricularia, des fourmis et des larves de Coccinellidae) et des Hyménoptères parasitoïdes : deux ont été recensés à Ivory comme Sympiesis sp (Similarly. E, Hymenoptera: Eulophidae), Tetrastichus howardi (Olliff, Hymenoptera: Eulophidae) et deux autres espèces en cours d’identification à Alaotra. Les méthodes culturales sont bénéfiques pour contrôler les populations de Spodoptera frugiperda et maintenir la productivité du maïs. Elles sont aussi utiles pour diversifier et préserver les ennemis naturels de ce ravageur. Mots clés : Spodoptera frugiperda, maïs, lutte, méthodes culturales, ennemis naturels.

Mots-clés : SPODOPTERA FRUGIPERDA, Innovation, Interface recherche développement, recherche, Développement, Chenilles légionnaires, ennemis naturels., ennemis naturels, méthodes culturales, Luttes, Sécurité alimenataire

Présentation atelier Interface Recherche et Développement 2020 : De nouvelles variétés de patate douce à chair orange pour la lute contre la malnutrition

 PUBLICATION | | 11 vue(s) |     

La malnutrition chronique affecte la majorité des Régions de Madagascar. En effet, même dans les zones a vocation agricole comme le Vakinankaratra, on enregistre plus de 46% d’enfants de moins de cinq ans qui en sont atteints, selon les chiffres présentés par l’ONN. Or la promotion de la consommation d’aliments bio fortifiés comme la patate douce à chair orange, riche en vitamine A, pourrait contribuer grandement à résoudre ce problème. De plus, la patate douce est une plante rustique, qui résiste à la sécheresse et s’adapte également même sur des sols pauvres. Plus d’une dizaine de variétés de patate douce a chair orange ont été sélectionnées à Madagascar a cause de leur adaptation dans les différentes zones agroecologiques et leur rendement qui dépassent les 20 tonnes à l’hectare. Les dernières sélections ont tenu compte des préférences des consommateurs locaux qui optent plus sur les variétés de patate douce sucrées et ayant une chair ferme. Ainsi, dans cet article seront présentées les caractéristiques des meilleures variétés a chair orange comme Donga, Bora, Manja, Ejumula et Ukerewe. Les quelques facteurs limitant l’adoption de ces nouvelles variétés prometteuses et les efforts dans leur promotion pour contribuer à réduire la malnutrition sont abordées.

Mots-clés : Développement, Patate douce à chair orange, Innovation, Sécurité alimenataire, Insécurité alimentaire, Activité génératrice de revenue, Agroécologie, Interface recherche développement, recherche

Présentation atelier Interface Recherche et Développement 2020 : L’aide à la réflexion des paysans, pour une meilleure adoption des innovations piscicoles

 PUBLICATION | | 0 vue(s) |     

L’APDRA Pisciculture Paysanne accompagne l’innovation en rizipisciculture paysanne. Ce système agro-écologique d’élevage de carpes en rizières permet de produire des protéines animales avec peu d’intrants tout en augmentant le rendement du riz, et ainsi de mieux valoriser les surfaces irriguées. Mais les rizipisciculteurs font face à différentes contraintes dans l’adoption de ce système (e.g. vol de poissons, manque d’eau, difficulté d’approvisionnement en alevins). Face à ces freins, l’APDRA a choisi de renforcer sa posture d’aide à la réflexion des paysans, avec la mise en oeuvre de l’approche de recherche co-active de solutions. Cette approche a été développée par le GERDAL (Groupe d’Expérimentation et de Recherche : Développement et Actions Localisées) sur les travaux de Darré (2006)1 . Elle se base sur l’expression des préoccupations paysannes pour les transformer en problèmes traitables, puis sur l’accompagnement des paysans dans la recherche de solutions disponibles, accessibles et durables. Il s’agit donc de fournir un appui méthodologique pour la réflexion, la production de connaissances et la levée de blocages au sein de groupes de pairs. Cette approche a été mise en oeuvre progressivement par l’APDRA à Madagascar depuis mars 2018, notamment au sein du Projet d’Aquaculture Durable à Madagascar – Composante A. Les ACP (Animateurs Conseillers Piscicoles) du projet sont en mesure d’organiser et animer des réunions au sein de zones où les paysans font face à des contraintes afin de mettre au point ensemble des solutions durables. Ainsi, un groupe de pisciculteurs d’Amoron’i Mania qui avait identifié 10 préoccupations limitant le développement de la rizipisciculture dans leur zone, telles que le vol de poissons ou les inondations, a été accompagné depuis 16 mois par l’APDRA. Une association de pisciculteurs a été mise en place, différentes actions ont été mises en oeuvre et aujourd’hui tous les problèmes ont été résolus. Cet appui à la réflexion et à la prise de décision des paysans est également pratiqué dans le cadre du Conseil aux Exploitations Familiales (CEF) mis en place de manière pilote en Itasy depuis 2019. Les outils du CEF utilisés avec les pisciculteurs renforcent leurs capacités de suivi, d’évaluation et de prise de décision. Le CEF vient compléter la recherche co-active de solutions en traitant des problèmes situés à une échelle individuelle, au sein de l’exploitation familiale. Les outils ont mené les pisciculteurs à revoir certaines de leurs pratiques et la gestion de leur atelier piscicole. Ils ont ainsi pu identifier des pistes d’amélioration de la commercialisation des alevins via un outil de planification de l’alevinage. Ils ont également mieux réparti l’offre en fonction de la demande locale et peuvent adapter le prix de vente en fonction de leurs objectifs car ils calculent à présent leurs coûts de production.

Mots-clés : Développement, Innovation, Agroécologie, Interface recherche développement, recherche, Pisciculture

Présentation atelier Interface Recherche et Développement 2020 : Capitalisation de quelques expériences paysannes dans la mise à l’échelle de l’agro-écologie

 PUBLICATION | | 1 vue(s) |     

Experts des réalités sociotechniques de leur milieu, les paysans se livrent des fois à des expériences tendant à adapter les connaissances agro-écologiques acquises auprès des formateurs. Réussis, les résultats de ces adaptations se diffusent de paysans à paysans mais se limitent à quelques villages près de celui au niveau duquel elles ont été découvertes. La capitalisation et la mise en commun de ces acquis pourrait être un atout dans la diffusion de l’agro-écologie au niveau local. De plus, les effets positifs des visites échanges organisées sur la diffusion des techniques innovantes ont encore été vérifiés dans le cadre du projet Manitatra II. Conscients des contraintes intrinsèques à leur environnement, les paysans développent des innovations afin d’assurer le succès de leur adoption : Dans le Vakinankaratra, l’association des plants d’arbre avec des cultures vivrières (arachide, pois de terre, manioc) permet de valoriser un terrain qui vient d’être boisé pendant au moins trois saisons. Les paysans sont beaucoup plus motivés à entretenir une parcelle où il y a des cultures vivrières par rapport à des parcelles de reboisement en pure. Ces soins assurent une croissance rapide aux plants d’arbre. Les parcelles sont aussi protégées contre le feu et la divagation. En Androy, il arrive que les paysans aspergent les plants d’arbre avec du purin afin de les protéger des ruminants qui des fois les broutent avec les herbes. Afin de garantir une couverture permanente du sol, il est nécessaire de dérober les cultures conventionnelles à cycle court avec des plantes couvrantes annuelles comme le mucuna. Avant, il a été préconisé d’introduire le mucuna durant la phase de maturation des légumineuses comme le soja, le niébé ou le haricot. Or, il est connu que l’intérêt que procure le mucuna dépend de la densité de sa biomasse. Ainsi, il a été démontré que la mise en dérobée juste après la formation des gousses permet au mucuna d’avoir une plus longue phase végétative et ainsi d’assurer une bonne couverture du sol après la récolte des autres cultures. Il a été aussi constaté que les touffes de mucuna maîtrisent bien les plantes envahissantes comme l’Acanthospermum austral (tangongo) en l’empêchant de produire des graines. Concernant l’association riz pluvial au cajanus, on a constaté que la période d’installation du cajanus ne devrait pas être la même sur les hautes terres (1300 – 1600 m d’altitude) que dans le Moyen Ouest de Vakinankaratra (500 – 1500 m d’altitude). Dans le Moyen Ouest, le cajanus installé après le deuxième sarclage du riz (fin janvier – mi-février) donne de bonne biomasse après la récolte du riz. Par contre, sur les hautes terres où il fait beaucoup plus froid, les plants de cajanus installé à la même période restent chétifs et sans biomasse. A partir de ces observations effectuées au niveau paysane, il est préférable, en plus de jouer sur les écartements des lignes de semis, d’habiller les parcelles de riz de la haute terre, plus tôt, vers mi-janvier.

Mots-clés : Développement, Innovation, Agriculture de conservation, Capitalisation, Agriculture Climato-intélligente, Témoignage, Agroécologie, Interface recherche développement, recherche, Expérience paysanne

Présentation atelier Interface Recherche et Développement 2020 : Plus d’alternative à l’utilisation excessive d’engrais chimique afin d’améliorer durablement la fertilité de sol : BIOCHAR

 PUBLICATION | | 2 vue(s) |     

Dans la région de Vakinankaratra, dans le district de Betafo, zone très productrice de tomate, les producteurs ne se contentent plus d’utiliser les engrais chimiques NPK avec la dose recommandée d’environ 3 kg/are mais utilise le double et même la tripe de cette dose car selon eux cette dose recommandée ne suffit plus pour avoir suffisamment de production. Or ils sont très conscients des lourdes charges engagées et de cette technique de production limitée. Par exemple durant la crise de Covid-19, les engrais NPK ont été peu accessibles surtout pour les zones éloignées des villes et leurs prix ne cessent d’augmenter. Ceffel, en tant qu’organisation paysanne de service oeuvrant dans la formation et expérimentation en fruits et légume, est fortement sollicité par les membres de trouver des solutions alternatives et de leur proposer des techniques adaptées, durables et permettant une augmentation des revenus tout en souciant les dimensions économiques, sociales et environnementales. Dans ce sens, pour trouver d’autres alternatives et combinaisons des techniques de fertilisant déjà diffusées, des essais de fabrication de biochar à partir de balle de riz et expérimentations de son efficacité sur la culture de tomate ont été réalisés. Le biochar est une substance au charbon de bois, fabriquée à partir de pyrolyse des déchets végétaux. D’après plusieurs études, il accroit les rendements des cultures en augmentant la capacité de rétention d’eau du sol, en réduisant l’acidité, en augmentant l’apport et la rétention des nutriments et en favorisant la croissance de microbes bénéfiques. Pour notre étude, le biochar a été fabriqué à partir de balle de riz avec un coût de production de 109 Ar/kg si balle de riz est achetée, 80 Ar/kg au cas contraire. Une pyrolyseur artisanale a été confectionnée à base de fut métallique, le biochar a été stabilisé par mouillage avec de compost liquide. 5 traitements ont été comparés sur la culture de tomate. TO : témoin absolu, T1 : fumier seul, T2 : 50 kg/are biochar + fumier, T3 : 100 kg/are biochar + fumier, T4 : 150 kg/ are biochar + fumier, T5 ( témoin) : 9 kg/are NPK + 2 kg/are Urée + fumier. Les résultats des essais ont montré que l’utilisation de biochar améliore considérablement le rendement T0 : 52 kg/are, T1 : 118 kg/are, T2 : 196 kg/are, T3 : 286 kg/are, T4 : 360 kg/are et T5 : 417 kg/are. Pour le calcul économique, T5 ( témoin) engage de charge de 66 950 Ar tandis que 56 700 Ar pour T4 ; soit 10 250 Ar de différence. Par contre T5 (témoin) possède une marge de 180 850 Ar contre 177 800 Ar (si balle de riz achetée) et 182 000 Ar (si balle de riz non achetée) pour T4. L’étude mérite d’être continuée avec plusieurs perspectives en vue : Combiner d’autres fertilisants avec le biochar : biochar + lombricompost, biochar + engrais verts tithonia,... afin d’améliorer encore le rendement ; Evaluer les effets et résultats à long terme ; Evaluer le bilan environnemental (bilan carbone) ; Etudier les biochars riches en silice (à partir des bozaka) pour contribuer à la lutte contre les maladies liées au sol.

Mots-clés : BIOCHAR, Expérience, Développement, Innovation, Capitalisation, Agroécologie, Interface recherche développement, recherche, Expérience paysanne

Présentation atelier Interface Recherche et Développement 2020 : Territoire à vocation biologique, un concept législatif à opérationnaliser avec les acteurs locaux avant toute tentative de définition ?

 PUBLICATION | | 2 vue(s) |     

La Loi n° 2020-003 sur l’Agriculture biologique à Madagascar promulgué le 3 juillet 2020 est porteuse du concept de Territoire à Vocation Agriculture Biologique (TVB), présenté comme des « Territoires dans les cadres desquels des partenariats public-privés sont encouragés pour faciliter le développement de la production biologique, et ce notamment dans les périphéries des aires protégées, les zones à forte propension à l’Agriculture biologique, ou encore les zones péri-urbaines au potentiel identifié pour l’approvisionnement des marchés domestiques notamment en produits biologiques frais. » Même s’il fait écho à d’autres initiatives de développement de projets alimentaires territoriaux par le monde, ce concept succinctement défini dans la loi trouve ses racines à Madagascar dans la volonté initiale des opérateurs de l’exportation à réduire, voire supprimer, les sources de contamination des productions biologiques dans les terroirs de production concernés. Mais les débats menés au moment de l’élaboration de la loi ont montré aux différentes parties prenantes l’intérêt d’ouvrir le concept à une diversité de situations potentielles, telles qu’évoquées dans la loi, pour de multiples bénéfices environnementaux, socioéconomiques et sanitaires. Avant toute définition approfondie - et dès lors prématurée - de ce concept, il s’agit avant tout de mettre en place des opérations pilote reposant sur un certain nombre de principes à discuter et valider collectivement. Dès lors, il s’agira de tester dans ces différents contextes comment allier le développement des filières biologiques et des territoires afin d’alimenter les réflexions politiques en cours sur la définition des territoires à vocation biologique à Madagascar. L’ambition est de montrer comment le dialogue entre les différentes catégories d’acteurs – collectivités, entreprises, producteurs et leurs organisations, services techniques - et les dynamiques partenariales peuvent créer un effet de levier pour le développement d’un territoire et contribuer au développement d’une agriculture rentable, socialement inclusive, contribuant à la préservation de l’environnement et des ressources naturelles et générant des produits alimentaires de qualité et compétitifs sur les marchés internationaux et domestiques. A terme, idéalement, il s’agirait de mutualiser et de confronter les différents référentiels techniques existant à Madagascar à travers des processus de capitalisation et de mise en débat des différentes expériences d’accompagnement des producteurs et de développement des chaines de valeur agroécologiques et biologiques à l’échelle des territoires pour définir les critères, le cahier des charges, les mécanismes de contrôle et les dispositifs de suivi qui pourraient être constitutifs d’un futur label « territoire à vocation biologique».

Mots-clés : Développement, Innovation, Alternative, Capitalisation, Agroécologie, Interface recherche développement, recherche, Agriculture Biologique

Présentation du DP SPAD (volet recherche) sur la conception participative de Systèmes de Culture innovants dans le Moyen-Ouest du Vakinankaratra (MOV) - Atelier recherche développement 25 janvier 2018 à Antsirabe

 PUBLICATION | | 3 vue(s) |     

Présentation du DP SPAD (volet recherche) sur la conception participative de Systèmes de Culture innovants dans le Moyen-Ouest du Vakinankaratra (MOV) - Atelier recherche développement 25 janvier 2018 à Antsirabe

Mots-clés : Riz pluvial, Innovation, Expérimentation, Diagnostic, Intensification écologique, Bonnes pratiques agricoles, Agroécologie, Intensification, Système, Evaluation, Recherche appliquée

What innovative agrosystems for poor farmers

 ASPECTS SOCIO-ENONOMIQUES | | 1 vue(s) |     

Mots-clés : Agroécologie, Climate smart agriculture, Best practices, Bonnes pratiques agricoles, Livelihoods agrosystems, Bien être social, Innovation, Small, Small farmers, Petit, Agriculteur, Familiale, Agriculture

Présentation du DP SPAD sur la recherche en sciences sociales et sciences économiques - Atelier recherche et développement 25 janvier 2018 à Antsirabe

 PUBLICATION | | 0 vue(s) |     

Présentation du DP SPAD sur la recherche en sciences sociales et sciences économiques - Atelier recherche et développement 25 janvier 2018 à Antsirabe

Mots-clés : Sciences sociales, Sciences économiques, Innovation, Expérimentation, Revenu, Activité génératrice de revenue, Accompagnement, Bonnes pratiques agricoles, Intégration agriculture -elevage, Elevage

Co-designing innovative cropping systems that match biophysical and socio-economic diversity. The DATE approach to Conservation Agriculture in Madagascar, Lao PDR and Cambodia HUSSON O et al, 2014

 PUBLICATION | | 3 vue(s) |     

Mots-clés : Innovation, Step-by-step design, Co-construction, Co-design, Dmc, Agriculture de conservation, Learning, Learning process, Participatory, Approche participative, Participatory approach, Tropical, Condition tropicale, Tropical conditions, SCV
1/1