INTEGRATION AGRICULTURE-ELEVAGE: VALORISATION DE STYLOSANTHES CIAT 184 POUR L'ALIMENTATION DES VACHES LAITIERES

 article ACL | |     

RESUME: L'étude a porté sur la détermination de la valeur nutritionnelle de diverses plantes utilisées usuellement pour l’amélioration de la production agricole, notamment Stylosanthes CIAT 184, Brachiaria brizantha et Mucuna pruriens IRZ. Ces plantes ont été utilisées dans l'alimentation des vaches laitières afin de contribuer au développement rural dans le concept de l'intégration agriculture-élevage. Les résultats de l’analyse bromatologique confirment les qualités fourragères de Stylosanthes guianensis CIAT 184. Cependant, sa teneur élevée en protéine brute limite son intégralité dans la ration d'une vache laitière. Ainsi, il a été préférable de l'associer avec de Brachiaria. Le calcul de la ration a montré que ce fourrage composé ne peut satisfaire, à lui seul, les besoins d’une vache laitière donc la ration exige une com­ pensation de concentré. La valeur en Unité fourragère (UF) de la graine de Mucuna indique son aptitude à être utilisée comme une base de concentré pour équilibrer le fourrage composé. L'efficacité de cette ration composée est donc évaluée par un test sur animaux qui consiste à diviser 9 vaches laitières en 3 lots avec des régimes alimentaires différents. Les 2 premiers lots reçoivent le régime de fourrage composé, l'un additionné d'un concentré à base de tourteaux d'arachide et l'autre d'un concentré à base de graine de Mucuna. Les vaches du 3e lot sont élevées sur pâturage pour servir de témoins. Des pesages portant sur la vache, la production laitière, la quantité d’aliment consommée ainsi que de la matière fécale sont effectuées régulièrement pour l'évaluation. L'analyse statistique des résultats obtenus a démontré l'efficacité de Stylosanthes, sur le poids des vaches. Cependant, les résultats obtenus sur la production laitière sont moins satisfaisants dus à divers facteurs limitants, rencontrés durant l'expérience. Ainsi, Stylosanthes peut être considéré comme efficace, et dans l'agriculture et dans l'élevage.

Mots-clés : Légumineuses, Plantes fourragères, Intégration agriculture élevage

EFFETS DU MODE DE GESTION DU SOL ET DES APPORTS DE PHOSPHORE SUR LA DISPONIBILITE DE L'AZOTE ET DU PHOSPHORE, LA PRODUCTION DE BIOMASSE ET LE RENDEMENT D'UNE ASSOCIATION RIZ-HARICOT SUR LE SOL FERRALITIQUE

 rapport de stage | |     

L’accroissement de la productivité rizicole à Madagascar nécessite la mise en valeur des sols ferrallitiques de tanety et une bonne conduite de la fertilisation du sol. Dans l’objectif de l’amélioration de la disponibilité en nutriments dans le sol ainsi que la productivité agricole, une expérimentation agronomique étudiant l’effet d’une culture intercalaire de riz et de haricot a été réalisée sur un sol ferrallitique situé à Lazaina-Antananarivo. Trois facteurs ont étéétudiés: (i) le mode de gestion du sol comparant un système avec labour du sol (CT) et un système sans labour du sol (NT),(ii) l’apport de P sous forme organique à base de fumier ou de résidus de stylosanthès et enfin (iii) l’apport de P minéral à doses croissantes sous forme de triple superphosphate (TSP). Des prélèvements de sols rhizosphériques et de plantes ont été effectués au stade floraison du haricot. Les sols rhizosphériques ont fait l’objet des analyses de P résine, de P microbien, d’azote minéral et de pH au laboratoire. Pour les plantes, les biomasses ont été évaluées. Les rendements des deux cultures ont aussi été évalués. Le système CT a permis d’obtenir une biomasse aérienne, racinaire et un rendement en riz et en haricot significativement plus élevés. Cependant, le P résine ainsi que la production de nodules ont été significativement plus élevés sous mode NT que sous CT. L’apport TSP+résidus de stylosanthès a permis d’obtenir une biomasse aérienne et racinaire ainsi qu’un rendement significativement plus élevés pour les deux plantes par rapport au traitement TSP+fumier. Les effets des apports de P minéral à dose croissante ont été constatés sur les paramètres étudiés et notamment sur la nodulation, La production de biomasse aérienne, le rendement du haricot et le P résine. En ce qui concerne la teneur en azote minéral, l’effet des apports de P à dose croissante a été seulement observé sur la teneur enNH4+sur sol rhizosphérique de haricot.

Mots-clés : Légumineuses

Relation entre la disponibilité de l'azote (N) et du phosphore (P) des sols. La minéralomasse (NETP) de la plante et la nodulation du haricot: cas d'essai multilocal dans les parcelles paysannes du moyen ouest de Madagascar

 Mémoire | |     

Dans le but de l’amélioration du rendement et de la récolte du haricot dans la région du Moyen Ouest de Madagascar, deux types d’essais ont été réalisés dans les parcelles multilocales de la zone, plus précisément dans la zone de betafo. L’essai 1 a eu comme objectif de voir les effets de doses croissantes de TSP apportées sur les caractéristiques physico-chimiques des sols des parcelles paysannes de la zone de Betafo et également d’avoir essayé d’évaluer les réponses des trois types de variétés du haricot sur les différentes doses de P2O5 au niveau de la formation de nodules. Malgré les problèmes d’attaques des mouches du haricot sur la culture, aucune étude n’a pas pu être réalisée sur la nodulation. Et le second essai a eu comme but d’évaluer les effets de doses croissantes de P2O5, d’apport de dolomie, et d’inoculation sur les caractéristiques physico-chimiques des sols, sur la formation de nodules et aussi sur la production de la biomasse aérienne. De fait, aussi bien pour l’essai 1 que l’essai 2, il a été vérifié que l’apport des doses croissant de TSP favorise l’augmentation des teneurs en P disponible dans le sol. Du point de la disponibilité de N dans le sol, c’était la variété locale qui a obtenu une teneur 8,68 mg de N-NH4+ kg-1 plus grande que la variété RIL 147 (7,23 mg de N-NH4+ kg-1) et RIL 115 (6,69 mg de N-NH4+ kg-1) même s’il n’y a pas eu une différence statistiquement significative (Pr=0,150). Mais au niveau de N- NO3- la variété RIL 115 a été la plus performante, elle a obtenue le N-NO3- avec une quantité significativement différente par rapport aux autres variétés utilisées. Par ailleurs, au niveau du pH des sols, l’acidité des sols a été encore constatée qui nécessiterait une correction bien appropriée. Afin d’évaluer les effets de l’inoculation avec rhizobium, une seule variété (RI- 5.2) a été utilisée. Ainsi les résultats montrent qu’il y a eu l’effet positif de l’inoculation sur la teneur en NH4+ disponible dans le sol (8,83 mg de N-NH4+ kg-1) par rapport à celui qui n’est pas traité avec inoculation (8,62 mg de N-NH4+ kg-1) même s’ils ne sont différents dans le test statistique. Mais la disponibilité de N-NO3- a été moins faible pour celui qui a été inoculé (7,50 mg de N-NO3- kg-1) par rapport à celui qui n’a pas été inoculé (9,08 mg de N-NO3- kg-1). En outre, il a été démontré même statistiquement que le fait d’inoculer la variété RI-5.2 a permis d’avoir une bonne formation de nodules puisque 26 nodules ont été obtenus avec inoculation contre 9 nodules à celui qui n’a pas été inoculé. Enfin, comme les sols ferralitiques de la zone caractérisés par l’acidité avec pH variant de 5,38 à 5,68, l’apport de la dolomie a présenté une grande nécessité en tant qu’amendement afin de corriger cette acidité du sol.

Mots-clés : Légumineuses, phosphore, Azote

GESTION AGRONOMIQUE DU STRIGA ASIATICA : L’EFFET DU SYSTEME DE CULTURE SOUS COUVERTURE VEGETALE SUR L’INFESTATION ET LA PRODUCTION DU RIZ PLUVIAL

 Mémoire | |     

Le Striga asiatica est une plante parasite très développée dans les pays intertropicaux comme Madagascar. A chaque saison culturale, il détruit des centaines d’hectares de riz pluvial et de maïs. Les terrains de cultures infestés par cette peste végétale sont rapidement abandonnés par les paysans et laissés en friche. Ce processus est presque irrémédiable. Ce cas d’infestation du striga est un phénomène vraiment manifesté dans le Moyen-Ouest malgache. La majorité des surfaces agricoles sont dévastées chaque année par le striga. Différentes campagnes de lutte ont été menées dans cette partie de la Grande île pour réduire son infestation. L’une des méthodes récemment utilisée est le système de semis direct sous couverture végétale avec rotation culturale ou SCV. Le CIRAD, la FOFIFA et l’Africa Rice effectuent une expérimentation de ce système depuis novembre 2011 dans le Moyen-Ouest à Ivory. Les différents types de SCV expérimentés pourraient définitivement arrêter ou du moins réduire la propagation du striga sur les cultures vivrières céréalières, notamment le riz pluvial et le maïs et partant de la production de ceux-ci. En effet, les différentes observations et quantifications du striga faites durant la deuxième année ont révélées des résultats relativement positifs et encourageants même si le comportement des pestes végétales est différent selon les types de SCV et les variétés de riz utilisées. Même si l’expérimentation n’a pas encore atteint son terme, les SCV s’avèrent un système efficace pour lutter contre l’infestation du striga, pour favoriser l’amélioration du sol en corrigeant sa teneur en matière organique et augmenter le rendement et la production agricole. Il travail reste la diffusion de ce système dans les différents découpages administratifs, comme les communes, districts et régions pour que les populations rurales puissent se réjouir de leur dur labeur par la réduction du taux de striga dans leurs champs de cultures.

Mots-clés : Striga, Légumineuses, Agroécologie

SUIVI-EVALUATION DES SYSTEMES DE SEMIS DIRECT SUR COUVERTURE VEGETALE PERMANENTE (SCV) POUR LUTTER CONTRE LE STRIGA DANS LE RESEAU PAYSAN DU MOYEN OUEST DU VAKINAKARATRA

 Mémoire | |     

Comme nous le savons tous, l’agriculture constitue toujours un secteur-clef d’activité dans notre société. Pourtant, elle fait face actuellement à des divers problèmes. L’important accroissement de la population mondiale s’accompagne d’une pression accrue sur les facteurs de production, l’eau et la terre en particulier. De ce fait, on assiste à une surexploitation des surfaces cultivables, origine des déséquilibres du milieu agricole. Cette situation favorise l’expression de divers stress, tels que le développement du Striga, le ruissellement et l’érosion. A Madagascar, la saturation et la stagnation de la productivité des zones irriguées, conduisent à une mise en culture de plus en plus fréquente et importante des tanety. Cependant l’érosion et le ruissellement peuvent engendrer la dégradation de ces sols fragiles et causer des dégâts sur les infrastructures et les rendements en aval. De plus, l’attaque du Striga est un fléau majeur dans presque tous les continents surtout les régions tropicales. Introduit il y a plus d’un siècle à Madagascar, le Striga constitue une menace sérieuse pour la culture céréalière, en particulier dans le Moyen Ouest du Vakinankaratra, zone de développement prioritaire à Madagascar. Le Striga, lorsqu’il atteint un fort niveau d’infestation, incite les agriculteurs à laisser leur champ en jachère prolongée, ou à cesser les cultures de céréales. Le développement de solutions adaptées aux conditions agro-climatiques et socio- économiques locales qui soient économiquement rentables et facilement applicables, tout en préservant l’environnement est un enjeu capital pour le pays. Ainsi sont lancées, par TAFA, le CIRAD et le FOFIFA, les études sur les techniques agro-écologiques de « semis direct sur couverture végétale permanente » ou SCV. Ce qui nous a permis par la suite de faire des études dans le réseau paysan, en choisissant comme thème : « suivis-évaluation des systèmes de semis direct sur couverture végétale permanente (SCV) pour lutter contre le Striga dans le réseau paysans du moyen ouest de Vakinankaratra ». Ceci dans le but d’évaluer le degré d’adoption des divers systèmes proposés et de savoir si ces systèmes sont résistants ou tolérants au Striga. Pour le bien fondé de notre mémoire, nous avons en premier lieu abordé le cadre d’étude cernant le Moyen ouest, le Striga asiatica et le système SCV. En deuxième lieu, nous avons entré dans l’étude expérimentale qui englobe la méthodologie de recherche et les matériels et méthodes appliqués. En dernier lieu, nous verrons les résultats et évaluations de nos suivis.

Mots-clés : Striga, Légumineuses, Socio-économie

DIAGNOSTIC ET TEST DES SYSTEMES DE CULTURES POUR LUTTER CONTRE LE STRIGA DANS LE RESEAU PAYSAN DU MOYEN OUEST DE VAKINANKARATRA

 Mémoire | |     

La région de Moyen Ouest est une région à vocation agricole du faite de son climat et de la fertilité de son sol. Comme toute autre zone productive, elle présente un grave problème (peste végétale nommée Striga asiatica). Ce dernier est ravageur de toutes les cultures céréalières et action entraine une chute rapide de rendement (voir nul). Avec l’avis de nombreux chercheurs, des ONG et des techniciens, une solution de lutte est établie. C’est une solution agro écologique dite SCV ou Semis direct Sous Couverture Végétale. Ils ont testé ce système sur des sites de références. Des bons résultats ont été obtenus. Et à partir de cette année, des suivis et des diagnostics sont réalisés en milieu réel (première année de recherche sur des réseaux paysans) sur l’adoption, la faisabilité de cette technique. Sur ce, on a appliqué la méthodologie comme suit : l’étude est fait avec 10 paysans étant déjà adopté le SCV depuis 5 ans, répartissant dans 3 communes de Moyen Ouest (Inanantonana, Vinany et Ankazomiriotra). Ces parcelles ont été choisies en fonction âge de la parcelle, la typologie, leur topo séquence. Pour cela, deux types de systèmes ont été réalisé tels que systèmes avec Stylosanthes guianensis adoptés pour les exploitations de taille moyenne et systèmes de diversification pour les exploitations de petite taille. On a étudié sur ces parcelles la biomasse, les graines de striga, les tiges souterraines et tiges aériennes de striga et le rendement des cultures principales. Les résultats ne sont pas encore envisageable pour la première année.

Mots-clés : Striga, Légumineuses, Agroécologie

Analyse de la situation: superficie en SCV dans le Moyen Ouest avec l’opérateur FAFIALA

 Document de travail | |     

Ces remarquent explique le recul des surfaces. La contrainte la plus préoccupante concerne la place d’une jachère améliorée n on productive qui peut à terme mettre en péril l’adoption actuelle du système. La diffusion des SCV est actuellement basée sur un système unique à base de styloxanthes qui pose des problèmes de gestion finalement assez important après suivi et analyse sur les 5 dernières années : préparation des parcelles au semis, désherbage manuel sélectif toujours nécessaire en fonction de la qualité des mulchs, manque d'outils appropriés (alors que la charrue est toujours disponible et sous utilisée..). Néanmoins certaines méthodes en cours de test comme le piétinage des couvertures par les zébus semble intéressantes a développer pour diminuer ces contraintes. La priorité va à la diversification des systèmes pour obtenir une offre technique plus adaptée aux différents types de producteurs et aux différentes stratégies paysannes rencontrées.

Mots-clés : Semis Direct, Agriculture de conservation, Légumineuses, riz pluvial

Évaluation de l’impact des systèmes de semis direct sous couvert végétal (SCV) à l’échelle de l’exploitation agricole dans le Moyen-Ouest du Vakinankaratra, Madagascar

 Mémoire | |     

Introduction: L’apparition des herbicides dans les années 50 a servi de levier pour la mise en place de nouvelles technologies. Cette nouvelle possibilité de lutte contre les adventices sans intervention mécanique, doublée de la mise au point de semoirs adaptés aux sols non ameublis, ont rendu le travail du sol superflu. De nouvelles techniques, sans travail du sol mais mécanisées, ont commencé à être développées dans les années 60, dans la région du Corn Belt, aux Etats-Unis, pour lutter contre une importante érosion éolienne. Dans un deuxième temps, ces techniques se sont développées en conditions subtropicales au sud du Brésil et en Argentine, dans les années 70 (AFD & Raunet, 2006), pour lutter contre l’érosion hydrique, puis dans les Cerrados brésiliens en conditions chaudes et humides. Dans ce contexte de climat tropical, les techniques de non-travail avaient comme objectif supplémentaire de lutter contre la minéralisation de la matière organique, fortement accélérée avec le labour, et de maintenir ainsi le capital matière organique des sols. Le concept de semis direct avec couverture végétale (SCV) naît alors, rendant compte, à côté de l’effet non-travail, de l’importance primordiale de la couverture végétale, souvent renforcée par des plantes de couverture, et des diverses fonctions écologiques qu’elle peut remplir (protection des sols, lutte contre les adventices, activité biologique dans les sols, recyclage des éléments minéraux, lutte contre certaines pestes et ravageurs…). Ces pays, aux conditions climatiques différentes possèdent néanmoins une caractéristique commune : leurs grandes exploitations modernes et mécanisées. C’est principalement dans ce type d’exploitation que les techniques SCV se sont développées. A Madagascar, les systèmes SCV n’ont été abordés qu’à partir de 1994 en situation contrôlée, puis ont connu une faible diffusion en milieu paysan à partir de 1998. Le contexte d’agriculture familiale à faible niveau de mécanisation et à faible capacité d’investissement pose des difficultés supplémentaires à l’introduction des techniques SCV. Les conditions agro-écologiques du pays sont également très diversifiées, ce qui nécessite des itinéraires techniques variés et adaptés à chaque cas. La diffusion des systèmes SCV est organisée par régions représentatives de différents contextes agro-écologiques, pour cibler sur des systèmes adaptés à chacune de ces conditions. Cette étude se situe dans le Moyen-Ouest malgache, au climat tropical de moyenne altitude (900-1000 m) à longue saison sèche marquée. Dans un contexte de front pionnier en phase de stabilisation, la colonisation des terres de cette région remonte aux années 1930, mais la plupart des terres ne sont cultivées que depuis une vingtaine d’années. Les sols y sont encore relativement fertiles, mais l’agriculture pratiquée, mise en place dans un contexte d’absence de pression foncière, n’est pas durable. La pratique du labour, favorisant l’érosion et la minéralisation rapide, en plus du pompage dans le sol des éléments minéraux, sans apport de fumure de fond pour équilibrer détériorent les sols du Moyen-Ouest. Cette agriculture minière représente aujourd’hui un danger pour l’avenir de la région. Les sols des tanety (collines) s’appauvrissent, la pression foncière augmente, les agriculteurs réduisent les jachères, les rendements diminuent, et des fléaux tels que Striga asiatica, plante parasite, se développent, empêchant les cultures de céréales. Dans cette région, aux bas-fonds nombreux mais étroits, les surfaces en rizières, irriguées et à mauvaise maîtrise de l’eau, sont insuffisantes pour assurer les besoins en riz des paysans. Les cultures pluviales de riz, maïs, légumineuses à graines, et manioc sont ainsi indispensables pour assurer la sécurité alimentaire des ménages.

Mots-clés : Semis Direct, Légumineuses, Adventices, Agroécologie

Analyse des relations agriculture – élevage et place des techniques d’agriculture de conservation dans un échantillon d’exploitations du lac Alaotra (Madagascar)

 rapport de mission/expertise | |     

Cette mission s’inscrit dans le cadre de la tâche 5 du projet Pépites, intitulée « Aide à la conception de systèmes de production intégrant des techniques d’agriculture de conservation », dont l’objectif est à la fois de comprendre les relations entre agriculture de conservation et fonctionnement des exploitations agricoles, de les modéliser et de mobiliser ces connaissances dans une démarche d’aide à la réflexion prospective des producteurs. Cette tâche est principalement mise en œuvre sur les terrains brésiliens et malgaches de Pépites

Mots-clés : Elevage, Agriculture de conservation, Légumineuses, RMME

L impact des modes de gestion des écosystèmes naturel et des systèmes cultivés à base de couvertures végétales sur les paramètres biologiques et chimiques du sol, à l ile de La Réunion

 Document de projet | |     

La disparition des vers de terre explique en partie la dégradation des sols tropicaux cultivés en même temps que des facteurs physiques, chimiques et biologiques (MO) qui peuvent être récupérés par la gestion plus écologique des sols cultivés (SCV)

Mots-clés : macrofaune du sol, Légumineuses, MOS, systèmes agraires, Biologie des sols
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