Ny voly rakotra anatsarana ny nofon-tany.

 PROJET MANITATRA 2 | |     

Izy ity dia hononatsary mitatitra ny voly rakotra sy ny tsipika mira ahabo entina hanatsarana sy hiarovana ny tany.

Mots-clés : Légumineuse, Rotation de cullture, Stylosanthes, Cajanus, Agriculture de conservation, Mucuna, courbes de niveau, Biomasse, Fertilité, Vakinankaratra

Bâche de formation GSDM, TECHNIQUE DE COMPOSTAGE

 PROJET PROSOL/GIZ | | 5 vue(s) |     

Il s'agit d'un support de formation utilisé pour l'apprentissage de l’Agro-écologie au niveau des 8 collèges bénéficiaires de l'intégration de l'Agro-écologie en milieu scolaire dans la région Boeny (projet GIZ/ProSol).

Mots-clés : Agroécologie en mileu scolaire, Projet GIZ/PROSOL, matière organique, Compost, milieu scolaire, Région Boeny, Fertilité, Enseignement

Présentation atelier Interface Recherche et Développement 2020 :Fertilisation dans les EA des Hautes Terres : des pratiques aux performances, quels enseignements pour la recherche et le développement

 PUBLICATION | | 0 vue(s) |     

Une étude a été menée dans le cadre du projet SECuRE afin de caractériser les pratiques de gestion de la fertilité des sols par les exploitants agricoles familiales (EAF), d’évaluer leur niveau d’adoption et les résultats économiques. Deux zones ont été ciblées : le Moyen Ouest de Vakinankaratra (Mandoto) et la zone Est de l’Itasy (Arivonimamo). L’enquête a été réalisée sur un échantillon de 323 EAF, dont 152 EAF à Mandoto et 171 EAF à Arivonimamo. L’étude a permis de faire ressortir les principales caractéristiques structurelles des EAF. Vingt techniques susceptibles de gérer la fertilité du sol ont été pré-identifiées. Le niveau d’adoption est très élevé dans les deux zones pour l’apport de fumure organique (FO), la rotation/association culturale et la culture de légumineuse. Les niveaux de perceptions des paysans vis-à-vis des apports des techniques sur la fertilité ont été évoqués. Un focus est donné sur les apports de FO et d’engrais. La production moyenne annuelle de FO par EAF est plus importante à Arivonimamo (2,17 t) qu’à Mandoto (1,87 t), et principalement composées de fumier mélangé et de fumier de bovins. La quantité de FO disponible (utilisée) par ha de SAU est de 3,5 t/ha de SAU à Arivonimamo alors qu’à Mandoto, la moyenne est de 1,7 t/ha. Une grande majorité des EAF font des échanges (achat, vente ou troc). A Mandoto, les producteurs ont une stratégie de fertilisation des céréales pluviales sur tanety (le riz pluvial et le maïs reçoivent 74% de la FO disponible et 40% des engrais minéraux), avec un transfert de fertilité des rizières vers les tanety (le fumier intègre des pailles du riz des rizières). Le riz irrigué, ne reçoit pratiquement pas de FO et très peu d’engrais. A Arivonimamo, la situation du riz irrigué est approximativement la même. Les cultures maraichères sont privilégiées et reçoivent 46% de la FO et 77% des engrais. Ce sont les cultures sur de petites surfaces, exigeantes en fumure mais aussi et surtout fortement commercialisées qui reçoivent donc l’essentiel de la fertilisation. En matière de performance économique, en moyenne un ha cultivé produit environ 1,1 million d’Ar à Mandoto et 1,9 million d’Ar à Arivonimamo. L’écart est lié à une meilleure valorisation des produits et la part des productions à haut produit brut. A Mandoto, la fertilisation ne représente qu’une faible partie des charges moyennes (13% soit 41 000 Ar/ha dont engrais achetés à 3%). A Arivonimamo, la fumure occupe la place la plus importante avec 41% du total (soit près de 215 000 Ar/ha, dont 48 000 Ar en engrais achetés). Les répartitions des charges par culture confirment les stratégies des EAF. Les EA s’investissent bien dans les spéculations commerciales (en lien aux marchés et prix). Quelques questionnements se posent : les agriculteurs ne fertilisent pas le riz sur bas-fonds, pourtant une culture stratégique ? Est-ce lié à la question de rentabilité d’augmenter les rendements de riz ? Ou, est-ce une pure gestion de fertilité des sols. La fertilisation organique est une option d’intensification écologique choisie par les agriculteurs et à pousser, mais dans un contexte difficile de diminution du cheptel.

Mots-clés : Développement, matière organique, Restauration du sol, Agroécologie, Fertilité, Interface recherche développement, recherche, Petite exploitation agricole, Etudes socio-économiques, Fumure organique

Conservation agriculture as a sustainable measure for soil fertility.

 PROJET MANITATRA 2 | |     

It is a film about the conservation Agriculture as a sustainable measure for soil fertility.

Mots-clés : Légumineuse, Rotation de cullture, Stylosanthes, Cajanus, Agriculture de conservation, Mucuna, courbes de niveau, Biomasse, Fertilité, Vakinankaratra

L'agriculture de conservation pour fertiliser les sols.

 PROJET MANITATRA 2 | |     

Il s'agit d'un film d'Agriculture de Conservation et courbes de niveau pour fertiliser les sols.

Mots-clés : Légumineuse, Rotation de cullture, Stylosanthes, Cajanus, Agriculture de conservation, Mucuna, courbes de niveau, Biomasse, Fertilité, Vakinankaratra

Présentation atelier Interface Recherche et Développement 2020 : Recherche participative pour la restauration de la fertilité des sols, exemples dans le Moyen Ouest et en Itasy à Madagascar

 PUBLICATION | | 0 vue(s) |     

Dans un contexte de faible fertilité naturelle des sols à Madagascar, combinée à un faible accès aux facteurs de production (équipement, terre, main d’oeuvre, intrants), la restauration de la fertilité des sols apparaît comme un enjeu majeur pour le développement des populations rurales. Le projet SECuRE - Restauration des fonctions écologiques du sol pour accroître les services agrosystémiques dans les systèmes rizicoles pluviaux en transition agroécologique (financement Fondation Agropolis 2017-2021) - s’inscrit dans une démarche participative et propose de tester un large panel d’amendements organiques et minéraux, visant une restauration des fonctions écologiques du sol pour soutenir durablement la production agricole. Ces amendements ont été évalués sur la culture de riz pluvial au champ pendant deux années selon des critères agronomiques et écologiques et selon la perception des producteurs. En mobilisant l’évaluation participative, l’objectif de cette démarche est de croiser l’analyse scientifique avec la perception paysanne, afin de produire des connaissances scientifiques mais aussi des connaissances dites « actionnables » pour les paysans. La méthode a conduit à identifier l’ensemble des critères utilisés par les paysans pour caractériser la qualité des amendements, les évaluer et enfin comparer cette évaluation paysanne aux performances agronomiques (rendement) et écologiques (carbone apporté par les intrants). Deux ateliers participatifs ont été effectués dans deux communes auprès de deux réseaux de fermes de référence : Ivory dans le Moyen-Ouest du Vakinankaratra, et Imerintsiatosika dans la partie Hautes-Terres de la région d’Itasy. Les résultats montrent que les paysans ne mobilisent pas que des critères relatifs aux coûts ou aux rendements, mais plutôt un ensemble complexe de critères dont l’accessibilité aux matières amendantes, la commodité d’épandage, la facilité de transport, l’effet sur les bioagresseurs mais aussi les effets escomptés sur la santé du sol, etc. Les amendements les mieux évalués par les paysans sont le compost sur les deux sites, ainsi que certains assemblages complexes (fumier traditionnel + compost + Guanomad). Les moins bien évalués correspondent à des amendements ayant une faible accessibilité, peu connus localement (phosphate naturel), qui demandent une plus forte technicité ou exigence en travail (lombricompost). Les différences d’évaluation entre les deux sites témoignent de l’importance des contrastes écologiques, de l’environnement économique et social et des pratiques locales qui influencent la perception paysanne. Ces résultats montrent que la perception paysanne de l’usage des amendements est située et complexe. Cet accompagnement passe par un effort de vulgarisation sur la qualité des différents amendements peu connus des producteurs, la facilitation de la circulation des informations techniques, de rendre ces matières plus accessibles localement (formation de prestataires locaux, ou mise à disposition de boutiques d’intrants organiques). Du côté de la recherche, ces résultats appellent à proposer des solutions qui correspondent aux attentes multiples et situées des paysans.

Mots-clés : Développement, Restauration du sol, Alternative, Capitalisation, Agroécologie, Fertilité, Recherche appliquée, Interface recherche développement, recherche

Bâche de formation ludique proposant un système de culture basé sur l'Agro-écologie

 Projet PAPAM | | 11 vue(s) |     

Il s'agit d'un support de formation ludique sur la pratique d'un système de culture basé sur l'association de mais+légumineuse/riz

Mots-clés : Légumineuse, Agriculture de conservation, Agroécologie, Azote de l'air, Papillonacea, Rhizobium, Repulsif, Fertilité, Allélopathie, Mucuna, Sol

Poster Mucuna Version Malagasy dans l'Androy

 FICHES TECHNIQUES SIMPLE (VERSION MALAGASY) | | 2 vue(s) |     

Mots-clés : Légumineuse, Allélopathie, Mucuna, Sol, Repulsif, Fertilité

Bâche de formation Mucuna - Projet Manitatra - Moyen Ouest

 PROJET MANITATRA - OUTILS DE COMMUNICATION | | 5 vue(s) |     

Il s'agit d'un support de formation basé sur les spécificités du Mucuna

Mots-clés : Légumineuse, Agroécologie, Azote de l'air, Papillonacea, Rhizobium, Repulsif, Fertilité, Allélopathie, Vers, Vers-blancs, Terricole, Larve, Insectes, Mucuna, Association de culture
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