Ce numéro rapporte, entre autres, les actions en cours en termes d’Agroécologie au niveau national, régional et international. Par ailleurs, les articles du journal attestent bien des nouvelles missions du GSDM à savoir : "Animer et accompagner la mise à l’échelle de l’Agroécologie pour répondre aux enjeux du changement climatique, de la dégradation des ressources naturelles et de la biodiversité, de la sécurité alimentaire et Nutritionnelle." Une capitalisation des bonnes pratiques agricoles pour la restauration de la fertilité des sols et de la lutte contre les bioagresseurs au niveau national ou international offre des bonnes perspectives pour les petites exploitations agricoles. Il y a lieu de citer en particulier les possibilités offertes par les techniques push-pull. L'Agroécologie offre aussi des possibilités pour la protection des aires protégées en proposant des alternatives pour les moyens de vie des personnes déplacées sur la base des expériences autour des aires protégées (cas du CAZ et du COFAV). Des actions sur l'alimentation et l'approvisionnement en eau des populations du zones sèche du Sud sont rapportés dans ce numéro. Il est reconnu que la rizipisciculture fait partie de l'Agroécologie car elle apporte des revenus significatifs pour les paysans tout en améliorant le rendement de riz. Ce numéro rapporte des résultats de recherche action intéressante sur l'alimentation des alevins des carpes.

données de capitalisations et de témoignages de paysans en fin de projets mais aussi des projets en cours dans une des régions menacées de désertification comme le Bongolava. Il s’avère que la gestion durable des terres face au changement climatique et dans un contexte de pauvreté et de mal nutrition fait appel surtout aux bonnes pratiques agricoles, entre autres les composts et les différentes plantes de services dont on dispose d’expériences éprouvées dans les différéntes zones agroécologiques du Pays. Les formations à différents niveaux et les communications par différents canaux ont permis des échanges fructueux entre producteurs, renforcées par le nombre important de visites échanges appuyés par les projets. Il est de plus en plus confirmé que les échanges entre paysans sont les plus efficaces en termes de diffusions des innovations techniques. La diffusion très rapide des systèmes à base de mucuna et de lombricompost en accompagnement du riz pluvial en est un exemple parmi tant d’autres. Relatées dans ce journal, les expériences des autres pays en agriculture biologique nous inspirent, même si les opportunités ne sont pas les mêmes, notamment en ce qui concerne les SPG et les TVAB. Nous constations qu’il y de plus en plus d’intérêts à publier dans le Journal de l’Agroécologie, ce qui nous motive à le soutenir par les moyens dont nous disposons. Nous remercions tous les chercheurs, tous les développeurs de plusieurs régions de Madagascar d’avoir répondu à notre appel à publications.

Ce numéro rapporte, entre autres, les actions en cours en termes d’Agroécologie au niveau national, régional et international. Par ailleurs, les articles du journal attestent bien des nouvelles missions du GSDM à savoir : "Animer et accompagner la mise à l’échelle de l’Agroécologie pour répondre aux enjeux du changement climatique, de la dégradation des ressources naturelles et de la biodiversité, de la sécurité alimentaire et Nutritionnelle." Une capitalisation des bonnes pratiques agricoles pour la restauration de la fertilité des sols et de la lutte contre les bioagresseurs au niveau national ou international offre des bonnes perspectives pour les petites exploitations agricoles. Il y a lieu de citer en particulier les possibilités offertes par les techniques push-pull. L'Agroécologie offre aussi des possibilités pour la protection des aires protégées en proposant des alternatives pour les moyens de vie des personnes déplacées sur la base des expériences autour des aires protégées (cas du CAZ et du COFAV). Des actions sur l'alimentation et l'approvisionnement en eau des populations du zones sèche du Sud sont rapportés dans ce numéro. Il est reconnu que la rizipisciculture fait partie de l'Agroécologie car elle apporte des revenus significatifs pour les paysans tout en améliorant le rendement de riz. Ce numéro rapporte des résultats de recherche action intéressante sur l'alimentation des alevins des carpes.

This is a final repport of MANITATRA 2 PROJECT SUBMITTED TO COMMON MARKET FOR EASTERN AND SOUTHERN AFRICA BY GSDM ©. This project will be up scaling experiences gained during MANITATRA 1 and previous projects. Also experiences from other projects, partners or members of GSDM will be Incorporated in this new project. The project main objective is to support the up scaling of CSA in order to mitigate climate change and to improve food security in Madagascar.

Le rapport présente les activités du GSDM pour l’année 2022. L’année 2022 a été marquée par l’achèvement de quelques projets tels que le projet PAPAM et le projet Manitatra 2. Les activités techniques dans le cadre de PAPAM ont été réalisées, il reste à clôturer la partie administrative, tandis que pour le projet Manitatra 2, quelques activités ont été encore réalisées jusqu’à fin juillet 2022.

This is a final evaluation report of Manitatra 2 Project, initially three-year project: July 2018 to June 2021 with an extension until December 31, 2021.

Ce rapport présente les activités du GSDM pour l’année 2021 dans le cadre du Projet MANITATRA II.