Propositions pour la mise en oeuvre d'un programme de développement pilote centré sur le transfert sud-sud, et l'adaptation des technologies de semis direct sur Couverture Végétale.
Rapport de mission Nouvelle Calédonie - Province du Sud - Expertise sur les systèmes de grande culture pratiqués dans l'Ouest de la Grande Terre
Travaux d'adaptation des SCV dans les projets ESA I et II
Céréales associées (sorgho ou maïs) avec des plantes de couverture Brachiaria ou Sesbania ou Stylosanthes qui forment biomasse pendant un an ou deux ou jachères avec mélanges restaurateurs de 2 ou 3 plantes de couverture incluant Eleusine qui constituent précédents pour coton. Solutions pour sols hardés : billonnage, riz, sorgho
Démarche d'intégration des SCV à l'échelle terroir et quelques résultats
Visite SCAP, Octobre 2009: Principes "Approche terroirs": diagnostic initial (densité de population, fertilité des sols, organisation de la production coton, élevage et feu de brousse) suivi de conclusions recommandations avec SCV + arbres; enfin réalisations
Les Systèmes de Culture sur Couverture
Visite SCAP, Octobre 2009Fondement, principes et fonctionnement
Etude de capitalisation et de formulation d'un programme de développement des techniques de semis-direct sur couvertures végétales (SCV) dans le cadre du programme de renforcement de la filière Cotonnière Burkinabé (PRFCB)
Appui à l’UNPCB et plus particulièrement au service agroéconomie pour une capitalisation et une formulation d'un programme de développement des techniques de semis-direct sur couvertures végétales (SCV) en : - prenant en compte les différentes activités liées à l’amélioration de la fertilité des sols au niveau de l’UNPCB , - proposant des ITK susceptibles d’être rapidement appropriés par les producteurs de coton , - intégrant les aspects socio-économiques et les contraintes rencontrées au niveau des exploitations agricoles. Il s’agira également : - d’établir pour les actions de recherche-développement SCV une programmation pluriannuelle de partenariat entre le PRFCB et la SOCOMA en continuité avec les activités initiées en 2004 , - d’identifier des perspectives de compléter le dispositif par des partenariats avec la SOFITEX et FASO COTON de même nature que celui de la SOCOMA (contractualisation UNPCB/SOCOMA).
Méthodes de Diffusion des SCV dans les systèmes coton en Afrique de l'Ouest et du Centre : Cas de la SOCOMA (Burkina Faso)
Présentation diffusion SCV : haies vives (Ziziphus, aztropha, Acacia spp), Légumineuses pour restauration sols et alimentation bétail
Rapport de mission en Guadeloupe - Propositions pour la construction d'une agriculture de conservation en Guadeloupe - Systèmes de culture à base de banane et canne à sucre
Propositions pour la construction d'une agriculture de conservation en Guadeloupe: systèmes de culture en Semis direct SCV à base de banane et canne à sucre - Rapport de mission en Guadeloupe (17 au 25 mai 2008)
Le Semis Direct sur Couverture Végétale Permanente (SCV), comment ça marche?
Le présent document est une traduction adaptée et enrichie du document en malgache destiné aux agriculteurs. Il constitue une aide pour les vulgarisateurs de terrainen apportant des réponses aux questions que les agriculteurs peuvent se poser sur le Semis direct sur Couverture Végétale permanente (SCV).Ce n'est pas un document méthodologique ni des fiches techniques, mais plus modestement un document de sensibilisation aux techniques SCV .
Rapport de recherche au Mali : Amélioration de la productivité des exploitations agricoles ? SCV 2005/2008
Au Mali, les expérimentations entreprises en zone cotonnière pour maintenir durablement l’agriculture ont porté essentiellement sur l’entretien du statut organique des sols par application de fumure organique. Les techniques proposées ont permis d’apporter des solutions qui puissent être appliquées à court terme par les agriculteurs, mais ces recommandations ne peuvent pas être utilisées par la grande majorité d’agriculteurs qui disposent souvent de quantités limitées en fumure organique. Ces techniques sont par ailleurs très exigeantes en terme de travail. Ainsi le recours à une fertilisation organique produite in situ par l’application de nouveaux modes de gestion, intégrant des plantes le plus souvent fourragères, mérite d’être testée pour la zone cotonnière. Ces systèmes créés au départ par des agriculteurs du milieu tropical ont été soutenus par de nombreuses institutions de recherche et de développement. Les SCV bien conduits sont supposés remplacer le travail du sol à la traction animale (labourou scarifiage) sans perte de rendement pour le coton ou la céréale suivante. Ces avantages ne seront réels et effectifs qu’avec la présence d’un minimum de résidus de récolte sur les parcelles permettant une meilleure conservation de l’humidité au niveau du sol . Associées à la présence de résidus, les dates de semis pourront être plus précoces qu’en systèmes travaillés. Sur le plus long terme cette évolution des pratiques pourrait aboutir à une forme très intégrée des activités d’élevage aux activités agricoles qui s’inscrit, avec notamment le passage d’une gestion « ouverte » et collective des ressources fourragères, à une gestion beaucoup plus fermée et individuelle de celles-ci, voir de construction progressive de bocages. Ces bouleversements du paysage et des pratiques qui touchent toutes les composantes agricoles, cultures, arbres et élevage, sont actuellement déjà perceptibles aux abords des zones urbaines où les zones mises en valeur sont délimitées par un système de haies permettant tout d’abord un marquage foncier du territoire.Au Mali, les expérimentations entreprises en zone cotonnière pour maintenir durablement l’agriculture ont porté essentiellement sur l’entretien du statut organique des sols par application de fumure organique. Les techniques proposées ont permis d’apporter des solutions qui puissent être appliquées à court terme par les agriculteurs, mais ces recommandations ne peuvent pas être utilisées par la grande majorité d’agriculteurs qui disposent souvent de quantités limitées en fumure organique. Ces techniques sont par ailleurs très exigeantes en terme de travail. Ainsi le recours à une fertilisation organique produite in situ par l’application de nouveaux modes de gestion, intégrant des plantes le plus souvent fourragères, mérite d’être testée pour la zone cotonnière. Ces systèmes créés au départ par des agriculteurs du milieu tropical ont été soutenus par de nombreuses institutions de recherche et de développement. Les SCV bien conduits sont supposés remplacer le travail du sol à la traction animale (labourou scarifiage) sans perte de rendement pour le coton ou la céréale suivante. Ces avantages ne seront réels et effectifs qu’avec la présence d’un minimum de résidus de récolte sur les parcelles permettant une meilleure conservation de l’humidité au niveau du sol . Associées à la présence de résidus, les dates de semis pourront être plus précoces qu’en systèmes travaillés. Sur le plus long terme cette évolution des pratiques pourrait aboutir à une forme très intégrée des activités d’élevage aux activités agricoles qui s’inscrit, avec notamment le passage d’une gestion « ouverte » et collective des ressources fourragères, à une gestion beaucoup plus fermée et individuelle de celles-ci, voir de construction progressive de bocages. Ces bouleversements du paysage et des pratiques qui touchent toutes les composantes agricoles, cultures, arbres et élevage, sont actuellement déjà perceptibles aux abords des zones urbaines où les zones mises en valeur sont délimitées par un système de haies permettant tout d’abord un marquage foncier du territoire.
Determinants of DMC technologies adoption among smallholders in the Lake Alaotra area, Madagascar
"Determinants of DMC technologies adoption among smallholders in the Lake Alaotra area, Madagascar" A/ Agrarian context of the lake Alaotraand BVLacproject presentation B/ Evolution of the extension of DMC technologies and first economic results C/ Highlight on the methodology developed by the project C1/ Territorial approach C2/ Farming systems approach (technico-economic modeling)