AMELIORATION DE LA NUTRITION AZOTEE DU RIZ PLUVIAL PAR LA FIXATION BIOLOGIQUE DE L’AZOTE AVEC LES BACTERIES Azospirillum sp

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Résumé: L’ Azospirillum sp est une bactérie fixatrice d’azote. Elle a été isolée à partir des racines de touffes de riz (X 265) cultivées selon le Système de Riziculture Intensive (SRI) en plein tallage et atteignant plus de 35 talles par pied. Elle peut être identifiée sur un m ilieu de DÔBEREINER. L’inoculation par P Azospirillum sp (1010 Azospirillum /m l) de sem ences de riz pluvial Fofifa 161 a fait apparaître une augmentation significative du rendement sur l’expérimentation au champ (3,7 à 7,3 t/ha) et un effet non significatif sur l’expérimentation en serre (2 to 2,2 t/ha). Le système de culture sous couverture végétale (SCV) est un avantage pour améliorer progressivement les productivités en maintenant les activités biologiques plus intenses. Aussi bien en serre qu’au champ, les effets sont plus bénéfiques pour les traitements inoculé paillé (IP) et inoculé non paillé (INP) que les traitements tém oin paillé (TP) et témoin non paillé (TNP).

Mots-clés : Riz, Nutrition azottée, Biologie des sols

Diagnostic agronomique de la production de riz pluvial sur les hautes terres Malgaches: cas du fokontany d'ANTSAPANIMAHAZO

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RESUME: L’URP SCRiD cherche toujours à améliorer la riziculture pluviale sur les Hautes Terres malgaches. Un diagnostic en milieu paysan est l’un des outils nécessaires pour mieux orienter leurs recherches Notre étude s’agit surtout à identifier les facteurs limitants de la production de riz pluvial. La zone d’intervention est le fokontany d’Antsampanimahazo, dans la région du Vakinankaratra. Il est impératif d’avoir des connaissances théoriques afin de bien mener les études et surtout de pouvoir vérifier les hypothèses posées à l’avance qui sont la fertilité, les attaques des ravageurs et les effets des adventices. Afin de bien vérifier les hypothèses qui ont été posées,des enquêtes et sur des les familles échantillonnées ont été effectuées et La collaboration avec les responsables de la TAFA nous a aussi beaucoup rendu service en nous permettant de rencontrer ces familles avec lesquelles il est possible de travailler. La mise en place des placettes sur la parcelle marque le début de toutes les observations, que ce soit sur le taux d’enherbement, l’état sanitaire de la parcelle, les attaques d’insectes ou d’oiseaux et des autres prédateurs. Un suivi des itinéraires techniques a aussi été effectué tout au long du cycle : du début de la campagne lors du labour jusqu’à la récolte, en passant par toutes les autres interventions telles que apport d’engrais et sarclages. Pour avoir plus de précision sur les parcelles, une étude physicochimique de quelques parcelles échantillonnées a été faite à partir des échantillons de sol qui sont analysés dans les laboratoires. Elle servira surtout à appuyer les résultats sur la fertilité des sols. Des pluviomètres ont été installés sur le terroir pour l’obtention des données météorologiques. A partir de tous ces suivis et de toutes ces analyses, nous avons identifié plusieurs facteurs qui influent la faiblesse du rendement du riz pluvial comme le déficit hydrique incluant la faible rétention en eau des sols et la pauvreté du sol en éléments nutritifs, Les variétés présentent aussi une grande variabilité sur tous les facteurs qui peuvent influencer le rendement comme les attaques des ravageurs, les effets de la fertilisation, la tolérance à l’enherbement, les dates de semis et floraison, la nutrition azotée.

Mots-clés : Riz, Nutrition azottée, Riziculture pluviale
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