Fiche montrant les principes du Semis Direct sur couverture végétale (SCV) et leurs applications en régions tropicales et tempérées et différents itinéraires techniques avec diverses mécanisations.
L'intérêt porté aux activités de semis direct en traction animale nous
a conduit à regarder ce qui se passait dans le Sud du Brésil, seul endroit au monde où cette technique a dépassé le stade de la pré-vulgarisation.
Elle est en effet répandue dans les systèmes d'agriculture familiale, très communs dans les zones vallonnées de ces régions inadaptées à l'agriculture
motorisée.
A la demande de l'Agence Française de Développement (Afd), une mission d'appui au programme de recherche développement travaillant sur les techniques de semis direct a été réalisée du 24 au 29 septembre 2001.Cette mission d'appui a été réalisée en remplacement de Lucien Séguy qui avait participé à 2 missions en 1999 et 2000 traçant avec Jean-Claude Quillet et Claude Bourguignon les grandes lignes du travail. En réponse aux termes de référence (en annexe 2), ce document reprend : La présentation réalisée le jeudi 28 septembre lors de la journée ",le semis direct des céréales: évaluation des résultats de la campagne 2000/2001 en Tunisie et application dans un contexte agro-climatique du semi-aride", Des recommandations pour le programme de recherche développement sur le semis direct Les éléments de la négociation avec le CTC du contrat pour la mise en place du volontaire civil (convention CTC Cirad et lettre de mission du volontaire en annexe 4 et 5)
En Côte d'ivoire, certaines pratiques agricoles concourent à une dégradation du milieu naturel et à un accès moins facile à des terres de bonne qualité. Ces situations, plus ou moins graves selon les terroirs, préoccupent les responsables ivoiriens. L'ancien Institut des savanes (Idessa, aujourd'hui Cnra)1 et ses partenaires de la recherche et du développement ont souhaité relever le défi de la fixation des agriculteurs sur des espaces limités dans deux zones de la région des savanes : le nord, voué à la culture cotonnière, et le centre, où la savane arbustive et les massifs forestiers sont progressivement défrichés. Pendant dix ans,des dispositifs expérimentaux de plusieurs dizaines d'hectares ont été suivis avec la participation des chercheurs, des agriculteurs et des sociétés de développement. Ces dispositifs, encore en activité, occupent les toposéquences de deux terroirs : celui de Tcholélévogo depuis 1989, près de Korhogo dans le nord, et celui de Brobo, depuis 1994, près de Bouaké au centre. Ils intègrent dans leur conception la variabilité du milieu et les réalités techniques, économiques et sociales du monde rural. L'ensemble de ce document fait la synthèse de ces acquis, depuis les itinéraires techniques jusqu'au calcul des marges nettes, en passant par la proposition de calendriers des travaux. Des voies de recherche future sont également discutées. Trois dossiers présentent le contexte, les dispositifs et les résultats. L'introduction campe la situation de la zone nord, bassin de la production cotonnière ivoirienne, pointe les signes de baisse de fertilité des sols et souligne les difficultés exprimées par les agriculteurs ou le développement. Le dossier suivant, « Gestion de terroir et techniques culturales : des solutions simples et durables pour la filière cotonnière » décrit le dispositif et les protocoles de Tcholélévogo ; des solutions techniques et organisationnelles sont évaluées, y compris en terme d'aménagement du terroir — c'est l'objet de la fiche technique n° 1 « L'aménagement des unités de paysage dans le nord de la Côte d'ivoire »
Ce voyage a été réalisé pour apprécier le développement du travail minimum et du semis direct dans les premières régions où ils ont été introduits chez les petits exploitants. Les zones visitées ont été celles du nord-ouest du Rio Grande do Sul et celles de l'ouest du Santa Catarina, régions accidentées où prédomine l'agriculture familiale. A cette occasion plusieurs constructeurs de matériels de semis direct (SD) en traction animale (TA) ont été visités.
L'essentiel de cet article sur le Semis Direct est déjà connu pour avoir fait l'objet de diverses publications, et il reprend l'historique du Semis Direct ainsi que l'échec du transfert Nord-Sud des technologies de travail du sol sur les sols ferrallitiques du Sud de l'Amazonie, et le nouveau concept de gestion des sols tropicaux inspiré du fonctionnement de l'écosystème forestier. IL apporte de nouveaux résultats probants pour le Semis Direct: fermeture du système Sol-Culture, Recyclage des nutriments, recharge en carbone du profil cultural
Esta matéria trata do Plantio Direto e jà foi publicada em outros artigos; apresentamos o historico do Plantio Direto assim como o fracasso da transferência Norte-Sul das tecnologias de preparo do solo nos latossolos do Sul da Amazônia, e o novo conceito de gestão dos solos tropicais imitando o funcionamento do ecossistema florestal. Trata-se também de novos resultados sobre o plantio direto: fechamento do sistema Solo-Cultura, ciclagem dos nutrientes, recarga em carbono no perfil cultural.
La technique du semis direct est aujourd'hui utilisée dans les petites exploitations du Sud du Brésil. Les agriculteurs, les constructeurs, les centres de recherche et les services de vulgarisation ont coopéré pour mettre au point cette technique et concevoir des matériels à traction animale. l'auteur présente les différents équipements qui sont utilisés dans cette région.
Article de Agriculture et Développement sur les systèmes cotonniers en Semis Direct au Brésil. Evolution des systèmes de production et des itinéraires techniques de la culture mécanisée cotonnière depuis la monoculture avec travail du sol superficiel jusqu'aux rotations en Semis direct sur couvertures mortes ou vivantes. Productivités, coûts de production des divers systèmes étudiés
Rapport des activités de recherche et développement CIRAD/EMBRAPA menées dans le Centre-Ouest brésilien entre 1983 et 1988 pour améliorer la gestion des sols et des cultures (riz pluvial, soja et maïs)