Ce numéro rapporte, entre autres, les actions en cours en termes d’Agroécologie au niveau national, régional et international. Par ailleurs, les articles du journal attestent bien des nouvelles missions du GSDM à savoir : "Animer et accompagner la mise à l’échelle de l’Agroécologie pour répondre aux enjeux du changement climatique, de la dégradation des ressources naturelles et de la biodiversité, de la sécurité alimentaire et Nutritionnelle." Une capitalisation des bonnes pratiques agricoles pour la restauration de la fertilité des sols et de la lutte contre les bioagresseurs au niveau national ou international offre des bonnes perspectives pour les petites exploitations agricoles. Il y a lieu de citer en particulier les possibilités offertes par les techniques push-pull. L'Agroécologie offre aussi des possibilités pour la protection des aires protégées en proposant des alternatives pour les moyens de vie des personnes déplacées sur la base des expériences autour des aires protégées (cas du CAZ et du COFAV). Des actions sur l'alimentation et l'approvisionnement en eau des populations du zones sèche du Sud sont rapportés dans ce numéro. Il est reconnu que la rizipisciculture fait partie de l'Agroécologie car elle apporte des revenus significatifs pour les paysans tout en améliorant le rendement de riz. Ce numéro rapporte des résultats de recherche action intéressante sur l'alimentation des alevins des carpes.

Les journées agroécologiques ont fait l’objet d’une journée et demi de visite de terrain et d’une demi-journée d’atelier de restitution en salle. Six sites font l’objet de visites permettant d’apprécier le degré d’intervention du projet et de ses impacts. Les visites ont également permis d’apprécier la volonté et l’engagement des bénéficiaires. Elles sont pertinentes pour les réflexions visant la pérennisation des acquis du projet. Quant à l’atelier de restitution, il a été question de partager l’approche d’intervention du projet et de soulever le rôle de l’Etat à travers l’engagement des Ministères concernés par le projet par rapport à la non prise en compte effective de l’Agroécologie dans le document de politique « Politique Générale de l’Etat 2024 ». Les échanges ont favorisé de relancer les engagements tenus dans le cadre des perspectives. De la sorte, il est évident que la prise en compte de l’Agroécologie dans les politiques publiques contribuera d’une manière générale à renforcer la résilience des exploitations agricoles face aux enjeux du changement climatiques et de l’insécurité alimentaire. Gsdm © août 2024

Ce numéro rapporte, entre autres, les actions en cours en termes d’Agroécologie au niveau national, régional et international. Par ailleurs, les articles du journal attestent bien des nouvelles missions du GSDM à savoir : "Animer et accompagner la mise à l’échelle de l’Agroécologie pour répondre aux enjeux du changement climatique, de la dégradation des ressources naturelles et de la biodiversité, de la sécurité alimentaire et Nutritionnelle." Une capitalisation des bonnes pratiques agricoles pour la restauration de la fertilité des sols et de la lutte contre les bioagresseurs au niveau national ou international offre des bonnes perspectives pour les petites exploitations agricoles. Il y a lieu de citer en particulier les possibilités offertes par les techniques push-pull. L'Agroécologie offre aussi des possibilités pour la protection des aires protégées en proposant des alternatives pour les moyens de vie des personnes déplacées sur la base des expériences autour des aires protégées (cas du CAZ et du COFAV). Des actions sur l'alimentation et l'approvisionnement en eau des populations du zones sèche du Sud sont rapportés dans ce numéro. Il est reconnu que la rizipisciculture fait partie de l'Agroécologie car elle apporte des revenus significatifs pour les paysans tout en améliorant le rendement de riz. Ce numéro rapporte des résultats de recherche action intéressante sur l'alimentation des alevins des carpes.