Etude sur le principal déterminant del 'adhésion à un réseau électrique et sur les effets socio-économiques de l'implantation de la centrale thermoélectrique à combustion de biomasse. Cas de la commune rurale d'Andaingo, région Alaotra Mangoro

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Cette étude s’inscrit dans l’évaluation des effets de la mise en place de la centrale thermoélectrique à combustion de biomasse dans la commune rurale d’Andaingo, Région d’Alaotra Mangoro. Trois grandes parties constituent les résultats pour répondre aux trois hypothèses émises, la première se rapporte sur le déterminant du choix d’adoption ou non à l’électricité ERD des ménages, la seconde se renseigne sur les effets de l’électrification et la dernière sur le développement de la filière d’approvisionnement nouvellement créée par la centrale. Aussi, des enquêtes par questionnaire et des entretiens ont été faites pour obtenir les résultats. Premièrement, les résultats montrent que 84% des ménages électrifiés se sont raccordés au réseau car l’électricité ERD avec son faible coût du KWh est plus économique et plus efficace que les autres sources d’énergie et qu’elle leur permettra de développer leur activité. De plus, la majorité des ménages non électrifiés n’a pas adhéré au réseau puisqu’ils n’ont pas les moyens nécessaires pour couvrir les frais de raccordement et le paiement des factures. Il y a une relation entre les activités principales des chefs de ménages et ces raisons d’adhésion ou non; mais aussi les revenus annuels des ménages déterminent le choix d’abonnement ou non. Deuxièmement, l’électrification a conduit à plusieurs changements qui se traduisent par l’acquisition de nouveaux équipements électriques par les ménages en particulier ceux électrifiés. Ce sont les équipements audiovisuels qui ont été les plus achetés. Les ménages électrifiés s’orientent vers la combinaison de plusieurs sources d’énergies en utilisant principalement l’électricité ERD, alors que les ménages non abonnés utilisent des sources d’énergie traditionnelles. L’électrification participe à l’amélioration des activités génératrices des ménages dont les plus touchées sont les travailleurs indépendants commerce, service et les fonctionnaires-enseignant. L’éclairage constitue le service énergétique le plus important. Il améliore également les conditions de travail des élèves pendant la soirée. Son effet est également apprécié à travers l’élargissement du champ d’activités (vente de produits réfrigérés, coiffure, karaoké). Après la comparaison des dépenses énergétiques des ménages abonnés et non abonnés avant et après l’électrification, les résultats sur la situation de 2013 montrent une nette diminution des dépenses en énergie des ménages abonnés (baisse de 47% de la dépense moyenne). Et l’éclairage public constitue un moyen de lutter contre l’insécurité. Et enfin, après la comparaison des différentes filières bois existantes, la nouvelle filière d’approvisionnement est la plus profitable pour les exploitants forestiers. Pourtant, cette filière n’est pas encore importante pour les acteurs

Mots-clés : biomasse

EVALUATION DES STOCKS DE CARBONE DANS LA BIOMASSE RACINAIRE DES PRINCIPALES CULTURES ET PLANTES DE COUVERTURE UTILISEES DANS LES SYSTEMES SCV AU LAC ALAOTRA (MADAGASCAR)

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Les préoccupations sur le réchauffement global et l’augmentation des teneurs en gaz à effet de serre principalement le CO2de l’atmosphère conduisent à s’interroger au rôle des biomasses végétales en termesde puits de carbone. Cette présente étude vise à évaluer la quantité de biomasse racinaire des cultures principales et plantes de couverture, et par suite d’évaluer le stock de carbone apporté dans le sol par l’adoption des systèmes de culture sur couverture végétale (SCV) dans la Région du Lac Alaotra. Les échantillons de biomasses aériennes ont été prélevés par la méthode de récolte intégrale,les biomasses racinaires par la méthode du carottage(en surface et en fosse). Ceci permet d’obtenir la répartition de la densité de racine dans le profil et les quantités de biomasse. Des estimations de stock de carbone sont également entreprises ainsi que la modélisation (parle modèle de Hénin-Dupuis) de l’évolution du stock de carbone dans le sol selon le mode de gestion et la quantité des résidus restitués au sol (50 et 100 %).Les résultats obtenus montrent l’absence de différence significative des quantités des biomasses totales produites pour chaque culture entre les systèmes sur couverture végétale (SCV) et les systèmes conventionnels de labour sans restitution des résidus (LSR). Mais cette étude nous a permis d’avoir des ordres de grandeur sur les quantités de biomasses souterraines et aériennes des cultures principales et plantes de couverture utilisées dans les SCV et celles obtenues en système LSR. Quant au stockage de carbone, les systèmes LSR entrainent une perte de carbone dans le sol au fil du temps, ce qui n’était pas le cas des systèmes SCV, permettant son accroissement. En fait, 25% de ses accroissements en SCV proviennent des biomasses racinaires des plantes.Ceci permet de dire que l’apport de carbone racinaire estinférieur à ceux provenant des biomasses aériennes.

Mots-clés : Lac Alaotra, biomasse

INFLUENCE DU CLIMAT SUR LE RENDEMENT ET DE LA PRODUCTION DE BIOMASSE DU DU RIZ PLUVIAL

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A Madagascar, le riz est un aliment de base où sa culture domine les bas fonds et commence à coloniser les tanety pour le cas du riz pluvial. La Région du Vakinankaratra fait partie des hautes terres, caractérisée par la culture du riz pluvial. Le changement climatique constitue un facteur entravant la production rizicole. C’est la raison pour laquelle cette étude consiste à connaître les effets du climat sur la production en grains et en biomasse du riz pluvial. La comparaison des facteurs climatiques et des rendements durant quatre campagnes successives a été considéré comme un outil pour mener l’étude. Ainsi les différentes relations entre ces composantes ont été déterminées. En premier lieu la basse température entraine un résultat négatif au rendement. Secundo la variabilité de la pluviométrie d’une année à l’autre affecte à la fois les rendements en biomasse et en grain en période critique. Enfin le vent fort qui est, certes passagère, mais cause beaucoup de dégâts pendant la floraison, en particulier la mauvaise formation des graines. Les autres facteurs jouent aussi des rôles dans l’élaboration du rendement que ce soit en graine ou en biomasse

Mots-clés : Climat, Riz, biomasse

Etude des potentialités de production en biomasse aérienne et analyse des valeurs fourragères des différentes variétés de Brachiaria sp sur les hautes terres Malgaches

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Actuellement plusieurs exploitants et paysans pratiquent la culture de Brachiaria sur les hautes terres malgaches. Les techniques de culture de cette graminée comme couverture végétale offrent des solutions aux problèmes écologiques majeurs rencontrés par notre pays. De plus, ces techniques s'adaptent à tous les milieux des hautes terres malgaches et procurent des rendements attractifs. Ils sont des bons fourrages pour alimenter les vaches laitières car ils produisent une forte quantité de biomasse et leurs valeurs alimentaires sont assez bonnes. Par rapport aux autres graminées, ils possèdent beaucoup d'avantage dans l'amélioration des sols dégradés. Dans notre pays, la pratique de cette culture présente encore des problèmes financier, économiques et techniques. Pour cela, il est nécessaire de vulgariser cette technique et de faire une diffusion par l'approche terroir.

Mots-clés : couverture végétale, Dégradation des sols, biomasse

MISE AU POINT DES SYSTEMES DE CULTURE DURABLE A BASE DE MAÏS PRODUCTIF INTEGRANT LES FOURRAGES

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Le maïs est la deuxième céréale vivrière cultivée à Madagascar, après le riz. Sa culture est généralement réalisée en association avec une légumineuse chez les paysans. Parmi toutes les régions de la grande île, notre zone d’étude, Vakinankaratra, possède la plus grande superficie maïsicole (78 034 ha). L’élevage bovin laitier y demeure de même important. Comment les développer de façon durable tout en maintenant le capital sol ? Notre étude, réalisée sur le dispositif expérimental de l’URP/ SCRiD à Andranomanelatra a porté sur la mise au point des systèmes de culture durable à base de maïs productif intégrant des plantes fourragères. Notre recherche a été axée particulièrement pour chaque système étudié sur : - les relations (compétition / complémentarité) entre plantes associées : mesures en cours du cycle de la hauteur du maïs ; les rendements du maïs ; - les biomasses produites ; - le ISE ou Indice de Surface Equivalente. Les résultats ont montré que : ❖ Il y a un effet plus marqué des traitements en cette deuxième année de conduite de l’expérience. ❖ Il y a un effet significatif de la fertilisation sur le rendement du maïs (entre FM et Fu). ❖ Les meilleurs rendements en grain ont été obtenus avec les systèmes S2 Lab (2867,2 kg/ha) ainsi que le système associé avec l’éleusine et le crotalaire (2155,8 kg/ha). ❖ la plus forte production de biomasse a été obtenue en S2 SCV (5766,6 kg/ha) et en maïs associé de même qu’en rendement en grain à l’éleusine et le crotalaire (7094,5 kg/ha). ❖ Toutes les associations se révèlent favorables.

Mots-clés : Plantes fourragères, biomasse

EVALUATION DE SYSTEMES DE CULTURE A BASE DE RIZ PLUVIAL INTEGRANT DES PLANTES FOURRAGERES

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RESUME: A Madagascar, le développement durable de la riziculture pluviale passe par la mise au point de systèmes de culture performants conservant la fertilité du sol et respectant l'environnement. Notre étude est une infime partie de ces recherches. Elle a été réalisée sur le dispositif expérimental de l’URP/ SCRiD à Andranomanelatra. L’évaluation de systèmes de culture à base de riz pluvial intégrant des plantes fourragères est intéressante car ces systèmes pourraient fournir au producteur à la fois une production vivrière et une production fourragère, tout en maintenant son capital sol. Notre recherche nous a conduit à faire différentes mesures au sein du dispositif pour chaque système étudié : - les relations (compétition / complémentarité) entre plantes associées : mesures au cours du cycle de la hauteur du riz et du maïs, de la nutrition azotée du riz (SPAD) - les rendements et leurs composantes - les biomasses produites - les quantités de résidus restant sur la parcelle à la fin de la saison froide Les résultats ne nous ont pas montré d’effet net de la fertilisation sur le riz, par contre l’effet est significatif sur le maïs. Pour le riz, le passage de conditions météorologiques défavorables (vent, basses températures) lors de la période autour de la floraison a eu pour conséquence de très faibles rendements (entre 0,74 et 1,34 t/ha) dus à de faibles pourcentages de grains pleins. Nous avons observé que ce sont les systèmes S1 et S2 en labour qui donnent les meilleurs rendements, ainsi que le riz associé avec la vesce semée 1 mois après le riz. Mais l’association avec l’éleusine est très intéressante car elle semble très favorable au riz (plus fort nombre de panicules par m²). Pour le maïs, c’est le S2 labour qui présente la plus forte valeur de rendement atteignant 3,5 t/ha et la plus forte biomasse au total (5,9 t/ha, cannes plus plantes associées). Entre associations, le meilleur rendement est observé avec l’association lupin semis en simultané, et le plus faible avec l’association avec Brachiaria. La production de biomasse de la plante associée la plus forte est liée avec le rendement le plus faible (cas du radis avec le riz et cas du brachiaria avec le maïs). La réalisation de coupes des couvertures les plus envahissantes, en plus de limiter la concurrence avec la culture principale, permettrait d’exporter de la biomasse pour l’élevage.

Mots-clés : riz pluvial, biomasse, Agroécologie

EVALUATION DE SYSTEMES DE CULTURE A BASE DE RIZ PLUVIAL INTEGRANT DES PLANTES FOURRAGERES

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A Madagascar, le développement durable de la riziculture pluviale passe par la mise au point de systèmes de culture performants conservant la fertilité du sol et respectant l'environnement. Notre étude est une infime partie de ces recherches. Elle a été réalisée sur le dispositif expérimental de l’URP/ SCRiD à Andranomanelatra. L’évaluation de systèmes de culture à base de riz pluvial intégrant des plantes fourragères est intéressante car ces systèmes pourraient fournir au producteur à la fois une production vivrière et une production fourragère, tout en maintenant son capital sol. Notre recherche nous a conduit à faire différentes mesures au sein du dispositif pour chaque système étudié : - les relations (compétition / complémentarité) ent re plantes associées : mesures au cours du cycle de la hauteur du riz et du maïs, de la nut rition azotée du riz (SPAD) - les rendements et leurs composantes - les biomasses produites - les quantités de résidus restant sur la parcelle à la fin de la saison froide Les résultats ne nous ont pas montré d’effet net de la fertilisation sur le riz, par contre l’effet est significatif sur le maïs. Pour le riz, le passage de conditions météorologiques défavorables (vent, basses températures) lors de la période autour de la floraison a eu pour conséquence de très faibles rendements (entre 0,74 et 1,34 t/ha) dus à de faibles pourcentages de grains pleins. Nous avons observé que ce sont les systèmes S1 et S2 en labour qui donnent les meilleurs rendements, ainsi que le riz associé avec la vesce semée 1 mois après le riz. Mais l’association avec l’éleusine est très intéressante car elle semble très favorable au riz (plus fort nombre de panicules par m²). Pour le maïs, c’est le S2 labour qui présente la plus forte valeur de rendement atteignant 3,5 t/ha et la plus forte biomasse au total (5,9 t/ha, cannes plus plantes associées). Entre associations, le meilleur rendement est observé avec l’association lupin semis en simultané, et le plus faible avec l’association avec Brachiaria. La production de biomasse de la plante associée la plus forte est liée avec le rendement le plus faible (cas du radis avec le riz et cas du brachiaria avec le maïs). La réalisation de coupes des couvertures les plus envahissantes, en plus de limiter la concurrence avec la culture principale, permettrait d’exporter de la biomasse pour l’élevage

Mots-clés : maïs, Riz, biomasse, systèmes de culture

EVALUATION DES SYSTEMES DE CULTURE DU RIZ PLUVIAL : COMPARAISON DES FERTILISATIONS, DES MODES DE GESTION DE SOL ET DES PRECEDENTS CULTURAUX.

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RESUME: Vu l’insuffisance de la production rizicole à Madagascar, l’extension de la riziculture vers les Tanety et l’utilisation des techniques adaptées avec l’usage des fertilisations recommandées ont été adoptées. N otre étude s’est déroulée sur le dispositif expérimental de l’URP/ SCRiD situé à Andranomanelatra. La démarche de l’évaluation de systèmes de culture du riz pluvial a été faite en trois étapes : 4- Comparaison de la nutrition azotée du riz au cours du cycle ; 4- Comparaison des rendements du riz obtenus à la récolte ; 4- Comparaison de la production de biomasse paille du riz à la récolte et des résidus des cultures sur les parcelles en rotation avec le riz à la récolte et à la fin de la saison froide. Une élaboration des composantes du rendement a été conçue afin d ’en connaître les facteurs limitants au cours du cycle. Les résultats ont montré que les valeurs SP AD des systèmes SCV sont faibles par rapport aux systèmes labourés au début du cycle mais ils les rattrapent à la fin des mesures. Le système ayant la plus haute valeur SP AD tout au long du cycle (T LAB FM) a le plus haut rendement. Quant au rendement, sur les anciens systèmes, le riz est plus productif quand il est précédé d’une Légumineuse, les valeurs en FM sont meilleures qu’en Fu. Le rendement est fortement associé à la densité de plants à la récolte. Sur les nouveaux systèmes, les rendements du riz ne sont pas significativement différents. Le rendement est dans ce cas associé au pourcentage de grains pleins, en relation avec l’utilisation dans ces essais de la variété F 154 sensible à la pyriculariose. Enfin la production de biomasse paille est proportionnelle au rendement sur les anciens systèmes, elle est presque semblable sur les nouveaux systèmes. La quantité de biomasse des précédents culturaux n ’influe pas sur le rendement du riz

Mots-clés : SPAD, biomasse, Biologie des sols

« SYSTEME DE CULTURE SOUS COUVERTURE VEGETALE PERMANENTE : PROFIL RACINAIRE DES PLANTES DE COUVERTURE ET SUIVI DE LA DEGRADATION DES RESIDUS DES DIFFERENTS SYSTEMES DE CULTURE SOUS COUVERTURE VEGETALE SELON LE MODE DE GESTION DU SOL »

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RESUME: Cette étude s’est déroulée dans la région du Vakinankaratra, plus précisément au sein du dispositif central de l’URP/SCRiD à Andranomanelatra, dans le cadre de programme de cette unité de recherche à savoir : « la détermination des mécanismes et les conditions de transformation du milieu biophysique par les systèmes S.C.V. ». Dans cette étude, face au problème qui se trouve au sein de ce dispositif, à la concentration en profondeur de l’azote hors des zones racinaires des plantes cultivées, trois principaux éléments ont été étudiés : d’abord, la densité racinaire et la profondeur d’enracinement des plantes de couverture (brachiaria et maïs), ensuite, la dégradation des résidus ou biomasse aérienne de ces plantes, et enfin, l’analyse ultérieurement de la teneur en azote et carbone de ces biomasses après décomposition. D’après les résultats obtenus, la densité racinaire est plus élevée en R3 (maïs/brachiaria) qu’en R4 (maïs/soja) vu le même système (semis direct), de même F enracinement est plus profond du fait des caractéristiques du brachiaria. En plus, la décomposition des biomasses se fait plus rapide en R3 qu’en R4, où le brachiaria joue un rôle très important sur le recyclage des éléments nutritifs en profondeur, d’ où en R3 d’après les résu lias d’analyses il y a plus d’azote qu’en R4. Enfin, la vitesse de dégradation est plus rapide sur le système labour, où les liter-bags sont enfouis dans le sol par rapport au système de culture sous couverture végétale.

Mots-clés : Densité racinaire, biomasse, Biologie des sols

ÉVALUATION DES SYSTEMES DE CULTURE DE RIZ PLUVIAL: COMPARAISON DES FERTILISATIONS, DES MODES DE GESTION DU SOL ET DES PRÉCÉDENTS CULTURAUX

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Vu l’insuffisance de la production rizicole à Madagascar, l’extension de la riziculture vers les Tanety et l’utilisation des techniques adaptées avec l’usage des fertilisations recommandées ont été adoptées. Notre étude s’est déroulée sur le dispositif expérimental de l’URP/ SCRiD situé à Andranomanelatra. La démarche de l’évaluation de systèmes de culture du riz pluvial a été faite en trois étapes : •Comparaison de la nutrition azotée du riz au cours du cycle ; •Comparaison des rendements du riz obtenus à la récolte ; •Comparaison de la production de biomasse paille du riz à la récolte et des résidus des cultures sur les parcelles en rotation avec le riz à la récolte et à la fin de la saison froide. Une élaboration des composantes du rendement a été conçue afin d’en connaître les facteurs limitants au cours du cycle. Les résultats ont montré que les valeurs SPAD (Soil Plant Analyses Development) des systèmes SCV sont faibles par rapport aux systèmes labourés au début du cycle mais ils les rattrapent à la fin des mesures. Le système ayant la plus haute valeur SPAD tout au long du cycle (T LAB FM) a le plus haut rendement. Quant au rendement, sur les anciens systèmes, le riz est plus productif quand il est précédé d’une Légumineuse, les valeurs en FM sont meilleures qu’en Fu. Le rendement est fortement associé à la densité de plants à la récolte. Sur les nouveaux systèmes, les rendements du riz ne sont pas significativement différents. Le rendement est dans ce cas associé au pourcentage de grains pleins, en relation avec l’utilisation dans ces essais de la variété F154 sensible à la pyriculariose. Enfin la production de biomasse paille est proportionnelle au rendement sur les anciens systèmes, elle est presque semblable sur les nouveaux systèmes. La quantité de biomasse des précédents culturaux n’influe pas sur le rendement du riz.

Mots-clés : Riz, biomasse
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