Cette édition N°17 du journal de l’agroécologie marque un tournant, reflet de l’effervescence et des défis d’une agroécologie en pleine évolution. C’est avec une profonde reconnaissance que nous saluons le départ de notre Directeur exécutif sortant, M. RAKOTONDRAMANANA, dont la vision et l’engagement ont permis de faire cette publication une référence dans le domaine. Nous lui adressons nos vœux de santé et de succès dans ses futures occupations. En tant que nouveau Directeur exécutif, et chef d’édition de ce journal, nous avons l’ambition de continuer à enrichir les débats et à promouvoir des solutions concrètes pour une transition agroécologique durable et équitable. Dans cet esprit, nous inaugurons une nouvelle rubrique de ce journal, consacrée à l’évaluation de la transition agroécologique (TAE). A travers des outils, des méthodologies et des études de cas. Cette section explorera les indicateurs de la TAE, les défis rencontrés, les résultats et interprétations ainsi que les apprentissages à tirer de différentes expériences à l’échelle locale comme internationale. Cette édition met particulièrement en lumière cette orientation, avec des articles approfondis qui offrent des perspectives sur le rôle des politiques publiques, des pratiques paysannes et de la recherche collaborative. Nous espérons que ces nouvelles perspectives stimuleraient votre réflexion et renforceraient votre engagement pour un avenir plus résilient et prospère.

Ce numéro rapporte, entre autres, les actions en cours en termes d’Agroécologie au niveau national, régional et international. Par ailleurs, les articles du journal attestent bien des nouvelles missions du GSDM à savoir : "Animer et accompagner la mise à l’échelle de l’Agroécologie pour répondre aux enjeux du changement climatique, de la dégradation des ressources naturelles et de la biodiversité, de la sécurité alimentaire et Nutritionnelle." Une capitalisation des bonnes pratiques agricoles pour la restauration de la fertilité des sols et de la lutte contre les bioagresseurs au niveau national ou international offre des bonnes perspectives pour les petites exploitations agricoles. Il y a lieu de citer en particulier les possibilités offertes par les techniques push-pull. L'Agroécologie offre aussi des possibilités pour la protection des aires protégées en proposant des alternatives pour les moyens de vie des personnes déplacées sur la base des expériences autour des aires protégées (cas du CAZ et du COFAV). Des actions sur l'alimentation et l'approvisionnement en eau des populations du zones sèche du Sud sont rapportés dans ce numéro. Il est reconnu que la rizipisciculture fait partie de l'Agroécologie car elle apporte des revenus significatifs pour les paysans tout en améliorant le rendement de riz. Ce numéro rapporte des résultats de recherche action intéressante sur l'alimentation des alevins des carpes.

Cette édition SPECIALE N°12 du Journal de l’Agroécologie, un numéro sur les articles de l’atelier « Interface Recherche Développement des 16 et 17 décembre 2020 à la Résidence Sociale d’Antsirabe a rassemblé autour de l’Agroécologie les chercheurs et les développeurs qui parfois travaillent tous sur le même sujet mais s’ignorent. En effet, il est important de capitaliser les expériences de toutes les disciplines sur la transition agroécologique dans un contexte de changement climatique, de sécurité alimentaire, de dégradation inquiétante de l’environnement, de pauvreté croissante post COVID 19. Ce numéro spécial a aussi pour ambition de mettre à jour les données récentes sur les acquis des chercheurs et les leçons apprises des développeurs et des producteurs en matière d’Agroécologie, de changement climatique, de menaces récentes sur les productions agricoles et de stratégie pour y faire face comme le cas du flétrissement bactérien sur le riz ou de la chenille légionnaire sur le maïs. Ce numéro aborde aussi la destruction de l’environnement notamment la déforestation rapide et la menace autour des parcs nationaux et des aires protégées et les acquis dans ce sens. Il aborde aussi l’agriculture biologique, entres autres, le système participatif de garantie et les terroitoires à vocation biologique

Cette édition N°17 du journal de l’agroécologie marque un tournant, reflet de l’effervescence et des défis d’une agroécologie en pleine évolution. C’est avec une profonde reconnaissance que nous saluons le départ de notre Directeur exécutif sortant, M. RAKOTONDRAMANANA, dont la vision et l’engagement ont permis de faire cette publication une référence dans le domaine. Nous lui adressons nos vœux de santé et de succès dans ses futures occupations. En tant que nouveau Directeur exécutif, et chef d’édition de ce journal, nous avons l’ambition de continuer à enrichir les débats et à promouvoir des solutions concrètes pour une transition agroécologique durable et équitable. Dans cet esprit, nous inaugurons une nouvelle rubrique de ce journal, consacrée à l’évaluation de la transition agroécologique (TAE). A travers des outils, des méthodologies et des études de cas. Cette section explorera les indicateurs de la TAE, les défis rencontrés, les résultats et interprétations ainsi que les apprentissages à tirer de différentes expériences à l’échelle locale comme internationale. Cette édition met particulièrement en lumière cette orientation, avec des articles approfondis qui offrent des perspectives sur le rôle des politiques publiques, des pratiques paysannes et de la recherche collaborative. Nous espérons que ces nouvelles perspectives stimuleraient votre réflexion et renforceraient votre engagement pour un avenir plus résilient et prospère.

Cet édition numéro 16 du Journal de l’Agroécologie valorisent les expériences et leçons apprises des développeurs et les résultats des chercheurs dans les différentes régions du Pays. GSDM © décembre 2023

Ce numéro rapporte, entre autres, les actions en cours en termes d’Agroécologie au niveau national, régional et international. Par ailleurs, les articles du journal attestent bien des nouvelles missions du GSDM à savoir : "Animer et accompagner la mise à l’échelle de l’Agroécologie pour répondre aux enjeux du changement climatique, de la dégradation des ressources naturelles et de la biodiversité, de la sécurité alimentaire et Nutritionnelle." Une capitalisation des bonnes pratiques agricoles pour la restauration de la fertilité des sols et de la lutte contre les bioagresseurs au niveau national ou international offre des bonnes perspectives pour les petites exploitations agricoles. Il y a lieu de citer en particulier les possibilités offertes par les techniques push-pull. L'Agroécologie offre aussi des possibilités pour la protection des aires protégées en proposant des alternatives pour les moyens de vie des personnes déplacées sur la base des expériences autour des aires protégées (cas du CAZ et du COFAV). Des actions sur l'alimentation et l'approvisionnement en eau des populations du zones sèche du Sud sont rapportés dans ce numéro. Il est reconnu que la rizipisciculture fait partie de l'Agroécologie car elle apporte des revenus significatifs pour les paysans tout en améliorant le rendement de riz. Ce numéro rapporte des résultats de recherche action intéressante sur l'alimentation des alevins des carpes.

Cette édition SPECIALE N°12 du Journal de l’Agroécologie, un numéro sur les articles de l’atelier « Interface Recherche Développement des 16 et 17 décembre 2020 à la Résidence Sociale d’Antsirabe a rassemblé autour de l’Agroécologie les chercheurs et les développeurs qui parfois travaillent tous sur le même sujet mais s’ignorent. En effet, il est important de capitaliser les expériences de toutes les disciplines sur la transition agroécologique dans un contexte de changement climatique, de sécurité alimentaire, de dégradation inquiétante de l’environnement, de pauvreté croissante post COVID 19. Ce numéro spécial a aussi pour ambition de mettre à jour les données récentes sur les acquis des chercheurs et les leçons apprises des développeurs et des producteurs en matière d’Agroécologie, de changement climatique, de menaces récentes sur les productions agricoles et de stratégie pour y faire face comme le cas du flétrissement bactérien sur le riz ou de la chenille légionnaire sur le maïs. Ce numéro aborde aussi la destruction de l’environnement notamment la déforestation rapide et la menace autour des parcs nationaux et des aires protégées et les acquis dans ce sens. Il aborde aussi l’agriculture biologique, entres autres, le système participatif de garantie et les terroitoires à vocation biologique

Dans le cadre de la mise en oeuvre du Projet ProSAR sur financement de la coopération allemande; le GSDM fait connaitre qu'il procède à un appel d'offres ouvert pour la fourniture de deux lots ci-joint et à livrer au bureau du GSDM Farafangana. Le dossier de l'appel d'offres sera disponible à partir du 30 juin 2025, les candidats intéressés et éligibles peuvent obtenir des informations, prendre connaissance de l'appel auprès du Directeur Exécutif du GSDM au lot VA 4/J Villa ARIMANANTSOA Ampasanimalo Antananarivo 101. Les offres sous enveloppes fermées et cachetées devront être déposées au bureau du GSDM à l'adresse sus-indiquée au plus tard le vendredi 11 juillet 2025 à 10h00.

Face aux défis croissants liés à la sécurité et souveraineté alimentaire, à la sécurité nutritionnelle, au changement climatique et à la gestion durable des ressources naturelles, la nécessité d’accompagner nos exploitations agricoles familiales et les acteurs privés dans l’adoption de pratiques plus résilientes et respectueuses de l’environnement, l’agroécologie apparaît aujourd’hui comme une voie incontournable pour transformer nos systèmes agricoles et alimentaires. A Madagascar, bien que des avancées notables aient été réalisées, la transition agroécologique (TAE) nécessite encore un engagement renforcé et une synergie accrue entre la recherche et le développement. C’est dans cette perspective que le GSDM, en lien à ses membres et partenaires, à travers les projets ALEFA Agroécologie et SANUVA, a initié cet Atelier interface Recherche & Développement, un espace de dialogue, d’échange et de co-construction entre chercheurs, acteurs du développement et acteurs privés, organisations paysannes, décideurs et PTF. L’objectif est clair : rapprocher la recherche et le terrain pour renforcer la production de connaissances, améliorer les pratiques agroécologiques et contribuer à leur intégration dans les politiques publiques. Les discussions et réflexions menées lors de cet atelier permettront de : • Mettre en lumière les acquis des projets et programmes, et les travaux de recherche engagés dans la transition agroécologique, et qui mettent en lien l'Agroécologie et la Nutrition ; • Discuter des enjeux et des défis liés à l’évaluation de la transition agroécologique et des performances des EAF dans cette transition ; • Renforcer les dynamiques de recherche-action et de recherche participative en lien avec les attentes des agriculteurs et des acteurs du développement à différents niveaux. Ce document de synthèse en rassemble les enseignements clés et servira de référence pour guider les actions futures en faveur d’un développement agricole et alimentaire plus durable et résilient. Nous remercions chaleureusement tous les participants, partenaires et contributeurs qui ont enrichi cette rencontre par leur expertise et leur engagement. Puisse ce travail collectif ouvrir la voie à des collaborations toujours plus fructueuses au service d’une agroécologie porteuse d’avenir pour Madagascar.

Les journées agroécologiques ont fait l’objet d’une journée et demi de visite de terrain et d’une demi-journée d’atelier de restitution en salle. Six sites font l’objet de visites permettant d’apprécier le degré d’intervention du projet et de ses impacts. Les visites ont également permis d’apprécier la volonté et l’engagement des bénéficiaires. Elles sont pertinentes pour les réflexions visant la pérennisation des acquis du projet. Quant à l’atelier de restitution, il a été question de partager l’approche d’intervention du projet et de soulever le rôle de l’Etat à travers l’engagement des Ministères concernés par le projet par rapport à la non prise en compte effective de l’Agroécologie dans le document de politique « Politique Générale de l’Etat 2024 ». Les échanges ont favorisé de relancer les engagements tenus dans le cadre des perspectives. De la sorte, il est évident que la prise en compte de l’Agroécologie dans les politiques publiques contribuera d’une manière générale à renforcer la résilience des exploitations agricoles face aux enjeux du changement climatiques et de l’insécurité alimentaire. Gsdm © août 2024