COMPENDIUM SCV CAMEROUN et SAVANES VOLUME II Chapitre 1 Le choix des cultures

 ouvrage de vulgarisation | |     

Pour chaque zone agro-écologique du Nord Cameroun, les tableaux présentant les possibilités d’association ou de successions des principales cultures avec les principales plantes de couverture permettent d’identifier les systèmes les plus intéressants pour lever rapidement les principales contraintes agronomiques. Les successions interannuelles permettent de faire entrer dans les systèmes des plantes d’intérêts agronomiques et/ou économiques variés, permettant de faire évoluer favorablement les sols et les gains des agriculteurs. Les successions interannuelles, faciles à gérer, ne sont possibles que quand la disponibilité en eau et les températures le permettent. Certaines associations sont faciles à gérer, alors que d’autre nécessitent un itinéraire technique précis (dates, densité, profondeur et espacements de semis, fertilisation éventuellement localisée, choix des variétés, application d’herbicide, etc.), adapté aux conditions de climat, au niveau de fertilité du sol et aux plantes associées.

Mots-clés : Riz, sorgho, types de sol, petite agriculture familiale, Coton, scv

COMPENDIUM SCV CAMEROUN et SAVANES Volume III. Chapitre 2 Fiches techniques des principaux SCV proposés au Nord Cameroun

 ouvrage de vulgarisation | |     

Les principaux systèmes développés reposent sur des rotations SCV sur deux ou trois ans: • Les rotations SCV sur deux ans consistent à faire une association céréales + plantes de couverture en première année pour permettre une production de grains et optimiser la production de biomasse. Cette biomasse est conservée in situ pendant l’intersaison et la deuxième année (année suivante), on fait une culture sur biomasse. • Les rotations SCV sur trois ans consistent à faire une association céréales+plantes de couverture en première année pour permettre une production de grains et permettre une bonne installation de la plante de couverture associée. En intersaison, la plante de couverture est protégée sur la parcelle (à l’aide d’une haie par exemple). En deuxième année, la plante de couverture est laissée seule sur la parcelle et se développe pour produire suffisamment de la biomasse. Elle est de nouveau protégée en intersaison sur la parcelle et en troisième année, elle est maîtrisée (par fauchage ou herbicide) et rabattue, puis on installe alors une culture sur la biomasse. Ces systèmes sont beaucoup plus pratiqués au sud de la zone cotonnière où les pluies sont plus régulières et importantes d’une part et la saison sèche, plus courte et moins contraignante qu’au nord de la zone cotonnière. Ces conditions sont plus favorables aux plantes de couverture, leur permettant de bien s’installer en première année pour se maintenir en intersaison et pouvoir se développer en deuxième année. Les principales plantes de couverture utilisées dans ces systèmes sont le Stylosanthes guianensis et le Brachiaria ruziziensis. Ces systèmes sont très recommandés pour les agro-éleveurs qui peuvent préléver une partie de la biomasse en deuxième année pour nourrir leurs animaux.

Mots-clés : stylosanthès, types de sol, écosystèmes cultivés, Légumineuses, brachiaria, systèmes agraires, scv, couverture permanente

Cycle du carbone dans l'environnement terrestre

 présentation PPT | |     

The carbon cycle in soil with soils biology, organic chemistry,

Mots-clés : Agriculture de conservation, types de sol, MOS, TCS - Techniques culturales simplifiées, mulch, scv, Biologie des sols

(poster) Physical Characteristics of Soil under Different Cropping and Natural Systems on the Plain of Jars

 poster | |     

The results of the WSA analysis are promising, highlighting the positive features of forage species like B. ruziziensis and S. guianensis, which seem able to aggregate smaller soil particles. Annual records should be made for B. ruziziensis, S. guianensis and others systems, and linked with analysis of microbial activities to show the beneficial functions of each species or system in soil aggregation. It is difficult to interpret the positive features of species in regard to bulk density and soil permeability as interaction is complex and various parameters are involved. At the same value of bulk density, this parameter will be affected by article size and arrangement, and organic content. In the case of rice and pine forest, the lower bulk density is mainly related to macro-porosity (high level of permeability). In contrast, B. ruziziensis and S. guianensis showed, for lower Da, a lower value of permeability probably related to an increase of micro-porosity. This characteristic has to be analysed during subsequent measurements of Da and soil permeability data as micro-porosity is a main component influencing water retention.

Mots-clés : stylosanthès, types de sol, brachiaria, systèmes agropastoraux

Terre malgache Spécial semis direct Tany Malagasy

 acte de colloque | |     

Voici le numéro 26 de « Terre Malgache », qui paraît suivant une formule originale : ils'agit d'un numéro entièrement consacré à l’agriculture sous couverture végétalepermanente (SCV), réalisé en partenariat avec le GSDM (Groupement Semis Direct deMadagascar), l’entité qui met au point et vulgarise ces techniques à Madagascar, etl’IRD (Institut de Recherche pour le Développement).Les contributions que vous trouverez dans cette parution sont les résumés descommunications et posters du séminaire International tenu à Antananarivo du 03décembre au 08 décembre 2007Est-il nécessaire de mettre en relief l’utilité de la lutte contre l’érosion des sols agricoles,en ces périodes d’incertitude alimentaire mondiale ? Est-il besoin, aujourd’hui où nousconstatons quasi-quotidiennement les effets pervers des modifications climatiques(réchauffement, irrégularité des précipitations, météores, etc.) de souligner l’importancede la couverture végétale et des sols pour la séquestration du carbone ?A ce double titre, nous tenons à saluer la pertinence de l’initiative du GSDM et de l’IRD,et apportons notre modeste contribution en aidant à la dissémination des résultats decette rencontre.Jean RASOARAHONA

Mots-clés : écobuage, séquestration de carbone, types de sol, érosion, TCS - Techniques culturales simplifiées, fertilité, scv, Biologie des sols

Biological interactions with aggregates formation

 présentation PPT | |     

Diaporama sur MO dans le sol (partie 1)

Mots-clés : macrofaune du sol, séquestration de carbone, types de sol, plante de couverture, MOS, Biologie des sols

Initiation à la lecture des paysages morpho-pédologiques de Madagascar- Formation des ingénieurs et techniciens des opérateurs du projet BVPI-SEHP

 résumé de conférence | |     

Initiation à la lecture des paysages morpho-pédologiques de Madagascar- Formation des ingénieurs et techniciens des opérateurs du projet BVPI-SEHP

Mots-clés : Tanety, types de sol, Milieu Physique, morphopédologie, érosion

Basic concepts

 présentation PPT | |     

The aggregation in no-tillage soils is built on the horizontal layers and the temporary and transient biding agents are the most important aggregation components

Mots-clés : types de sol, érosion, MOS, TCS - Techniques culturales simplifiées, mulch, propriétés physico-chimiques du sol, scv, Biologie des sols

Rapport de recherche au Mali : Amélioration de la productivité des exploitations agricoles ? SCV 2005/2008

 Document de projet | |     

Au Mali, les expérimentations entreprises en zone cotonnière pour maintenir durablement l’agriculture ont porté essentiellement sur l’entretien du statut organique des sols par application de fumure organique. Les techniques proposées ont permis d’apporter des solutions qui puissent être appliquées à court terme par les agriculteurs, mais ces recommandations ne peuvent pas être utilisées par la grande majorité d’agriculteurs qui disposent souvent de quantités limitées en fumure organique. Ces techniques sont par ailleurs très exigeantes en terme de travail. Ainsi le recours à une fertilisation organique produite in situ par l’application de nouveaux modes de gestion, intégrant des plantes le plus souvent fourragères, mérite d’être testée pour la zone cotonnière. Ces systèmes créés au départ par des agriculteurs du milieu tropical ont été soutenus par de nombreuses institutions de recherche et de développement. Les SCV bien conduits sont supposés remplacer le travail du sol à la traction animale (labourou scarifiage) sans perte de rendement pour le coton ou la céréale suivante. Ces avantages ne seront réels et effectifs qu’avec la présence d’un minimum de résidus de récolte sur les parcelles permettant une meilleure conservation de l’humidité au niveau du sol . Associées à la présence de résidus, les dates de semis pourront être plus précoces qu’en systèmes travaillés. Sur le plus long terme cette évolution des pratiques pourrait aboutir à une forme très intégrée des activités d’élevage aux activités agricoles qui s’inscrit, avec notamment le passage d’une gestion « ouverte » et collective des ressources fourragères, à une gestion beaucoup plus fermée et individuelle de celles-ci, voir de construction progressive de bocages. Ces bouleversements du paysage et des pratiques qui touchent toutes les composantes agricoles, cultures, arbres et élevage, sont actuellement déjà perceptibles aux abords des zones urbaines où les zones mises en valeur sont délimitées par un système de haies permettant tout d’abord un marquage foncier du territoire.Au Mali, les expérimentations entreprises en zone cotonnière pour maintenir durablement l’agriculture ont porté essentiellement sur l’entretien du statut organique des sols par application de fumure organique. Les techniques proposées ont permis d’apporter des solutions qui puissent être appliquées à court terme par les agriculteurs, mais ces recommandations ne peuvent pas être utilisées par la grande majorité d’agriculteurs qui disposent souvent de quantités limitées en fumure organique. Ces techniques sont par ailleurs très exigeantes en terme de travail. Ainsi le recours à une fertilisation organique produite in situ par l’application de nouveaux modes de gestion, intégrant des plantes le plus souvent fourragères, mérite d’être testée pour la zone cotonnière. Ces systèmes créés au départ par des agriculteurs du milieu tropical ont été soutenus par de nombreuses institutions de recherche et de développement. Les SCV bien conduits sont supposés remplacer le travail du sol à la traction animale (labourou scarifiage) sans perte de rendement pour le coton ou la céréale suivante. Ces avantages ne seront réels et effectifs qu’avec la présence d’un minimum de résidus de récolte sur les parcelles permettant une meilleure conservation de l’humidité au niveau du sol . Associées à la présence de résidus, les dates de semis pourront être plus précoces qu’en systèmes travaillés. Sur le plus long terme cette évolution des pratiques pourrait aboutir à une forme très intégrée des activités d’élevage aux activités agricoles qui s’inscrit, avec notamment le passage d’une gestion « ouverte » et collective des ressources fourragères, à une gestion beaucoup plus fermée et individuelle de celles-ci, voir de construction progressive de bocages. Ces bouleversements du paysage et des pratiques qui touchent toutes les composantes agricoles, cultures, arbres et élevage, sont actuellement déjà perceptibles aux abords des zones urbaines où les zones mises en valeur sont délimitées par un système de haies permettant tout d’abord un marquage foncier du territoire.

Mots-clés : séquestration de carbone, types de sol, TCS - Techniques culturales simplifiées, Bilan hydrique, fertilité, Socio-économie, Coton, scv

A sinfonia inacabada do plantio direto no Brasil Central : o sistema predominante chamado de semi-direto

 ouvrage scientifique | |     

Historique du semis direct dans les Cerrados, initié par le Cirad et ses partenaires en 1985, qui a commencé réellement en 1995 et s'est développé sur les cultures de soja et maïs, mais il a été modifié en "semi-direct" par les cotoniculteurs (semis d'une biomasse de mil à la volée sur un travail minimum, qui est desséchée et sur laquelle on implante le coton en semis direct). Nouveaux systèmes en Semis Direct combinant cultures principales et de succession, et paturâges pour intégrer Agriculture-Elevage sont supérieurs aux systèmes traditionnels tant pour la séquestration du Carbone que pour la baisse des intrants et l'augmentation des productivités et des marges.

Mots-clés : scv, recherche-action, systèmes agraires, types de sol, propriétés physico-chimiques du sol, plante de couverture, pâturage, MOS, gestion du sol, Intégration agriculture élevage
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